Chapitre 20 - Vortex et temps-plié

 

Un jeu de piste scientifique ouvrant sur la Conscience, m’a guidée à découvrir certains effets des vortex à échelle universelle, terrestre et jusque dans ma sphère personnelle.

Cette enquête a débuté lorsqu’en découvrant ces photos je suis restée bouche bée. J’ignorais que de tels tunnels se formaient lors du passage d’une vague !

 

Photographe : Axel Deret

Photographe : Ben Thouard


 

Comme tout phénomène physique se reproduit à toutes les échelles, l’immense vague d’énergie qui déferle sur notre monde – l’Onde de changement – ne générerait-elle pas, elle aussi, de grands tunnels ? Ceux-ci pourraient bien être les fameuses portes entre les mondes, symboliquement représentées par le terrier du lapin d’Alice !

 

De même, comme le voient certains chamans à l'échelle microscopique, une infinité de vortex peuvent s’activer dans notre organisme :

 

Dans le corps, chaque centre énergétique laisse apparaître une concentration, une sorte de tourbillon d'énergie ; pour l'observateur qui voit, elle semble tourner dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, un peu comme dans un entonnoir. La puissance d'un centre donné dépend de la force de ce mouvement. S'il est à peine perceptible, c'est que le centre est épuisé, vidé de son énergie.

Quand les sorciers des temps anciens examinaient le corps avec leur œil qui VOIT, poursuivit don Juan, ils remarquaient la présence de ces vortex. Poussés par la curiosité, ils en ont dressé une carte.

- Y a-t-il beaucoup de ces centres dans le corps, don Juan ? Demandai-je.

- Des centaines, sinon des milliers ! assura-t-il. On pourrait dire que l'être humain n'est rien d'autre qu'un agglomérat de milliers de spirales tourbillonnantes, dont certaines si petites qu'elles ressemblent, disons, à des têtes d'épingle, mais des têtes d'épingle très importantes.

Carlos Castaneda, Les passes magiques, p.25

 

Ce phénomène est également évoqué par les Cassiopéens :

Q : (L) : Le système aurique dans le corps physique peut parfois refléter tant l’état spirituel que physique de la personne. Cet endroit est-il similaire à un chakra ?

[…]

R : Ce ne sont que de simples dénominations.

Q : (L) D’accord, cela ressemble-t-il à un vortex énergétique ?

R : OK...

Q : (L) Un vortex énergétique dans le corps, un chakra dans le corps, c’est un endroit où l’énergie du corps communique avec l’Univers.

Laura Knight, Transcriptions de l’Expérience cassiopéenne, 1995, p. 373

 

En réunissant différentes images, je pus effectivement constater que, comme le dit Laura Knight, grâce aux champs de torsion, l’énergie du corps communique avec l’Univers. Et ce à tous les niveaux d’existence ! Autrement dit, grâce aux vortex, chaque organisme est relié au champ informationnel universel. Et avec l’arrivée de l’Onde de changement, la circulation de l’énergie-information y serait amplifiée.

 

 

Exemples de champs de torsion du microcosme au macrocosme

 

En poussant mes recherches sur ce phénomène, je me suis rendu compte que la plupart des scientifiques ayant étudié les champs de torsion ont été censurés, persécutés, et parfois même assassinés. Ce sujet qui semble tant préoccuper les gardiens de la matrice attisait ma curiosité !

 

La théorie de Kozyrev s’appuie sur des observations astronomiques. Elles lui ont été inspirées par des expériences mystiques qu’il a vécues en prison. [Kozyrev était un astrophysicien russe qui fut condamné à dix ans d’enfermement en camp de concentration (de 1936 à 1946) pour "activité contre-révolutionnaire". Il avait effectivement osé aller à l’encontre des théories de la physique officielle.] Il y a rencontré des chamans sibériens, incarcérés comme lui.

Il raconte qu’en 1938, enfermé dans une cellule sombre non chauffée dont la température était proche de zéro, nu-pied et habillé seulement de ses sous-vêtements comme devaient être les prisonniers, nourri seulement d’un morceau de pain noir et d’une tasse d’eau chaude par jour, il réussit à trouver en lui de la chaleur interne par la prière intense, ce qui lui permit de survivre.

Par la suite, il s’interrogea sur la source de cette chaleur, qui ne pouvait pas provenir de sa nourriture. […] Il eut des expériences de conscience élargie pendant lesquelles des images de l’univers lui sont apparues. Kozyrev en conçut l’image que les organismes vivants tirent leur énergie principale d’une source invisible douée de mouvements torsadés."

https://www.spirit-science.fr/Matiere/phys51_torsion.html

 

Les découvertes de Kozyrev étaient d’autant plus révolutionnaires, qu’elles mettaient en évidence l’existence d’une énergie illimitée, disponible dans l’éther (l’antimatière). Dans un milieu où son corps aurait dû mourir, il aurait donc, par sa foi, réceptionné cette énergie-information véhiculée par les champs de torsion !

 

Comme ses travaux en astrophysique touchent au domaine de l’énergie libre, et qu’il souhaitait justement la rendre "libre" (c’est-à-dire gratuite et accessible), il n’est pas étonnant que les sites mainstream censurent ses découvertes.

 

Quasiment à la même époque, Viktor Schauberger, un inventeur garde forestier autrichien, a passé de nombreuses années à observer l’effet des vortex dans les rivières, spécifiquement grâce au déplacement des truites. Ses recherches l’ont conduit à réaliser toutes sortes d’inventions fonctionnant à partir de cette énergie libre. Parmi elles, le moteur à implosion qui, contrairement au moteur à explosion, génère lui-même son énergie. Il fut alors réquisitionné par Hitler pour développer des technologies secrètes :

 

En 1944, il aurait été contraint, sous peine de mort, de développer pour le IIIe Reich un programme visant à la mise au point d'une soucoupe volante. Le 19 février 1945, à Prague, un disque volant aurait été lancé et se serait élevé en 3 minutes à une altitude de 15 000 m et aurait atteint une vitesse de 2 200 km/h. Wikipédia

 

Malgré les menaces qu’il reçut, il fit tout pour communiquer son éthique du respect du vivant. Son savoir lui fut extorqué de force (toutes ses recherches furent mises sous clé) et il ne fut jamais entendu ni reconnu pour ses découvertes. Il mourut en 1958 après avoir déclaré “J’ai toujours été obligé de fournir une preuve. Chaque fois que je le faisais, j’étais volé à tel point qu’aucune autre voie n’était ouverte pour moi, autre que de rester silencieux une fois encore” et “si je révèle tout cela, ce sera simplement étouffé, car les pouvoirs politiques et les doctrines de l’Église en seraient ébranlés… Après tout ce que j’ai fait, il ne reste plus rien. Ils ont dit que j’étais fou.https://micheldogna.fr/viktor-schauberger/

 

Les découvertes se poursuivirent ! Quelques décennies plus tard un autre scientifique, Bruce DePalma, observa que :

 

Les corps sans rotation chutent à la même vitesse quelle que soit leur masse […]. Par contre, on constate que le gyroscope [une toupie créée pour l’expérience] tombe plus vite lorsque son rotor tourne à 15 000 tr/min que lorsque son rotor est immobile. […] Tout se passe comme si la masse du gyroscope en rotation avait augmenté. […] Cette augmentation est due à l’énergie qu’il a reçu du champ primordial de l’espace dans son mouvement de rotation. https://www.spirit-science.fr/Matiere/phys51_torsion.html

 

Ces scientifiques à l’esprit ouvert mettent donc en évidence que :

- le mouvement de rotation, se déployant à l’intérieur de notre organisme ou dans notre environnement extérieur, permet de réceptionner une forme d’énergie présente dans l’éther ;

- pour évoluer, les organismes vivants sont dépendants des vortex qui transportent l’énergie-information ;

- cette énergie-information accroît la masse de l’être ou de l’objet qui la réceptionne.

 

Laura Knight et son équipe ont d’ailleurs acquis une vision globale intéressante concernant l’influence de la désinformation, c’est-à-dire de la perte de masse, sur la destruction planétaire actuelle :

 

Si l’on peut conjecturer que plus de l’information est ajoutée à un système, plus cela lui donne une sorte de masse […]. S’il y a quoi que ce soit dans cette idée, on pourrait penser qu’à mesure qu’une civilisation perd son intelligence (comme la nôtre l’a nettement perdue), […] immergée dans un océan de mensonges et de désinformation, elle perd en masse, pour ainsi dire, ce qui pourrait accélérer les cycles temporels, y compris les cycles cataclysmiques.

Laura Knight, Transcriptions de l’Expérience cassiopéenne, 1994, p. 68

 

Donc, comme le disent si bien les Cassiopéens : La Connaissance protège et l’ignorance expose au péril !

 

Partant de ce constat – le fait qu’une civilisation ne se donnant pas la peine de rechercher la Connaissance, perd de la masse et se dirige tout droit vers sont autodestruction –, la Chronique n°6 ajoute une pièce importante à ce puzzle :

 

Autrement dit, elle [la civilisation] laisse se perdre ou se dissiper toute l'énergie imaginative qui devrait provenir de ses propres pensées et qui, en inversant son spin [la rotation de ses particules nucléaires], lui permettrait de densifier "sa propre réalité" !

 

Tous ces recoupements me permettent de comprendre que l’humain en quête de connaissances agirait comme un gyroscope qui, par l’assimilation d’informations, prendrait une certaine masse. De plus, par l’inversion de ses croyances, il pourrait même inverser le spin de ses micro-vortex. D’ailleurs, si plusieurs courants spirituels accompagnent leur travail de conscience de mouvements rotatifs, sans doute est-ce pour renforcer ce mode de réception d’informations.

 

 

Derviches tourneurs en Iran

 

Danse Kalbélia du Rajasthan


 

La sagesse soufie prétend que celui qui veut "découvrir les mystères de la Création", doit entrer dans des états modifiés de conscience et d'expansion de l'être, par exemple en dansant et tournant sur lui-même – d'où la tradition des derviches tourneurs. Dialogue avec notre Ange n° 39

 

Dans le livre Les Messagers de l’Aube de Barbara Marciniak, Les Pléiadiens évoquent également l’intêret des mouvements giratoires :

 

[Tourner sur soi-même] a pour effet d'accélérer grandement la rotation de tous les chakras à l'intérieur de votre corps, ce qui accélère énormément la vitesse à laquelle vous pouvez recevoir et interpréter des données.

 

En plus de la curiosité qui me poussait à découvrir l’effet des vortex, je prenais conscience que mon corps aussi manifestait cet attrait, car lorsqu’il m’arrive de danser, à un moment ou un autre, je finis par tourner sur moi-même.

 

Je me rappelai alors l’importance du mouvement : toute activité physique sollicite en effet les mitochondries qui ont un rôle bien particulier concernant l’épigénétique et la production d’énergie. La rotation y ajoutant de la force, toute personne qui "image-in" une nouvelle réalité, pourrait bien en se mettant en mouvement, réceptionner des informations qui donnent plus de "poids" à la modification de sa propre fréquence et donc de sa réalité.

 

Ce n'est donc pas seulement l'énergie d'une "simple pensée" ou d'une "idée éphémère" qui procure de la masse à la réalité, mais il s'agit bien de l'énergie soutenue et focalisée par une pensée "consciente, imaginative et anticipatrice" qui, lorsqu'elle est entretenue et intensifiée par la répétition d'un mouvement corporel activant les mitochondries (vos centrales énergétiques logées dans les cellules), produit ces ondes instables de gravitation modifiant la réalité que votre conscience interprète. Chronique de l’Ange n° 20

 

D’ailleurs, cette force psychokinétique (le mouvement associé à une intention bien précise), agissant sur l’espace et le temps, est bien connue des peuples dont le génome a été peu impacté par la programmation SDS :

 

Pour les Aborigènes et d’autres peuples autochtones qui ont su préserver une culture en symbiose avec la nature, il est intuitif de penser que l’espace-temps flexible permet de manifester nos intentions. Pour ces peuples, la nature de l’espace-temps permet de densifier, de cristalliser dans le présent leurs souhaits. […] Le monde physique est toujours en perpétuelle création, en mutation, et ce, à partir d’une dimension de conscience intemporelle qu’ils nomment "le temps du rêve", ou Alcheringa. […] C’est par le biais de leurs intentions de création que les héros originels du temps du rêve ont façonné l’espace. Cette période créative est décrite comme une expérience d’excitation dynamique, d’intentions liées à des mouvements et des déplacements. L’action de leurs intentions a modulé l’espace-temps malléable.

Romuald Leterrier et Jocelin Morisson, Se souvenir du futur, p.131

 

En continuant mes recherches sur la rotation, je fis le lien avec l’histoire mystérieuse de l’initié Edward Leedskalnin. Celui-ci, alors qu’il pesait seulement 40 kg pour 1,55 m, parvint à bâtir un château avec d’énormes blocs de corail. Il y aurait travaillé seul et essentiellement de nuit, à l'abri des regards. Quelle technique, hormis son trépied en bois à la vue de tous, a-t-il pu utiliser pour découper, déplacer, sculpter et positionner des blocs de pierre dont certains pesaient jusqu’à 30 tonnes ? Parmi eux, une porte de 9 tonnes tellement bien équilibrée sur son axe, qu’un enfant peut la pousser !

(http://quanthomme.free.fr/nouvelles2004/nouvelle04022004.html)

 

 

Des personnes sensibles ont dit avoir ressenti un certain mal de tête en se tenant sous l'arche de cette porte qui pourrait être dressée sur un vortex. Dans sa maison, était suspendu un mystérieux siège tournant et il déclarait avoir "percé le secret de la construction des pyramides". Aurait-il appris, par un système de rotation associée à une intention suffisamment aiguisée, à générer des vortex et à agir sur la matière ? Les schémas et les livres qu’il a laissés portent justement sur le magnétisme et l’antigravité.

 

Ce même phénomène que Leedskalnin avait provoqué pour agir dans le domaine de la construction, semble se manifester dans notre quotidien, mais de manière plus globale et naturelle : le passage de l’Onde et l’activation des vortex, associés à la quête de la Connaissance, pourraient bien être à l’origine des symptômes psychiques et physiques, souvent accompagnés de tournis ou vertiges, que certains d’entre nous éprouvent.

 

"L'extériorisation de l'Esprit" lorsqu'il change de dimension, passe quasi invariablement par un phénomène que nous avons déjà tous connu. Il s'agit d'une sensation hyperkinétique, formant un tourbillon ou une sorte de vortex, plus connu sous le nom de VERTIGE ! […] Un vertige insupportable provoque donc le jaillissement ou la projection de l'Esprit hors du corps. Et c'est précisément lors de vertiges intenses que notre environnement se déforme et que les conditions de cohésion moléculaire commencent à cesser d'exister !

 

[…] Autrement dit, lorsque nous sommes sujets à d'intenses vertiges, nous pourrions avoir la capacité d'influencer les ondes de gravitation. Et c’est lorsque nous parvenons par une concentration intense à focaliser une pensée, un acte de volonté, sur un point unique pendant cet épisode de vertige intense, que notre pensée gagne en puissance et réveille des facultés inutilisées dans notre état ordinaire. Cette forme-pensée focalisée devient alors une sorte d'impulsion, un levier qui mobilise l'énergie vitale et la dirige vers le point où elle doit opérer. De cette manière, l'Esprit localisé en dehors du corps, c'est-à-dire dans l'antimatière devient capable de déplacer des montagnes.

Dialogue avec notre Ange n°39

 

L’Esprit localisé dans l’antimatière serait alors le Soi supérieur ! Ceci est un point important, car pour avancer sur la voie du Service d’autrui, je dois continuellement être attentive aux attentes égotiques qui pourraient s'immiscer dans mon processus. C’est bien par un travail intérieur et un changement de fréquence que je parviendrais de plus en plus à me relier mon Soi supérieur. Et c’est effectivement ce dernier (et non mon ego grâce à une quelconque loi d’attraction) qui générerait une nouvelle réalité SDA.

Car parallèlement, l’utilisation des vortex pour répondre aux objectifs du Service de soi (comme l’ouverture artificielle de portes dimensionnelles) est très répandue. Dans Wikipédia, il est d’ailleurs écrit :

 

Le vortex est la manifestation physique d'un trou de ver. Il permet de relier deux points de l'espace distants de plusieurs milliers, millions ou milliards d'années-lumière, en rapprochant ces deux points grâce à une distorsion de l'espace-temps.

 

Mettre à disposition du grand public une partie de l’information (à travers des films sur les voyages spatio-temporels comme Star Gate, Retour vers le futur, Interstellar…), tout en présentant ces phénomènes comme une technologie mystérieuse et futuriste, est une belle ruse pour perdre les personnes crédules.

 

 

Mais pour celui qui cherche, il n’est pas si difficile de comprendre que ces portes des étoiles artificielles sont activées quasiment sous nos yeux. C’est le cas par exemple du CERN en Suisse, dont le principal accélérateur de particules s’appelle Alice ! (Voir le texte "CERNer la Matière Noire".) Et si autant de battage est fait autour de cette gigantesque installation scientifique souterraine, ne serait-ce pas encore une fois pour nous éloigner de l’essentiel ? Les milliards de trous noirs dont notre organisme est doté !

 

Les macros trous noirs avaient eu un vaste écho public, on en avait même fait différents films, alors que les micros trous noirs étaient restés dans l’ombre […]. La tentative sournoise de les supprimer avait réussi seulement en partie. On leur avait donné des noms – particules de Planck ou super cordes massives – qui masquaient leur nature de trous de l’espace-temps, de tunnels instantanés entre le visible et l’invisible.

À part les noms, ces micros trous noirs spéciaux unissent toutes les forces de l’univers, y compris la gravité, ainsi que toutes les théories physiques, depuis celle de Newton à la relativité d’Einstein, jusqu’à la physique quantique. Ce n’est pas tout. Ils ont aussi des propriétés magiques : une masse énorme, des dimensions très réduites et des fréquences très élevées.

Giuliana Conforto, Petit Soleil, p. 202

 

Finalement, malgré leurs tentatives de détournement, les entités mettant à l’épreuve le discernement du chercheur de connaissance, l’aident davantage à progresser. À mon échelle, j’observe que plus je persévère sur cette voie – en apprenant à distinguer les informations SDS des informations SDA et en appliquant mes prises de conscience –, plus la malléabilité de l’espace et du temps se dévoile.

 

 

Un espace qui se rétrécit

 

Le premier confinement fut pour moi l’occasion d’une récapitulation. Un mécanisme étrange qui semblait agir sur l’espace me sauta aux yeux : à chaque fois que j’avais mis en application une prise de conscience importante, d’une manière ou d’une autre mon environnement s’était restreint.

 

Voici les étapes principales :

 

- En 2011, je pris conscience que j’étais en train de m’enfermer dans un schéma de sécurité illusoire (création d’une activité rentable d’accompagnatrice en montagne, achat d’un terrain, sécurité de couple et familiale). En quête de réponses, je partis avec mon sac à dos. Après plusieurs péripéties, je me rendis à l’évidence : "je devais" m’installer dans l’Aude ! C’est à ce moment-là que ce besoin cyclique de "cheminer sur tous les sentiers de la Terre" se calma ; j’avais trouvé "ma Terre" et mon cheminement intérieur pouvait véritablement commencer !

 

- En 2012, en rencontrant Sand et Jenaël et en aménageant sous le château du Bézu, j’expérimentai pour la première fois la résurgence de mémoires karmiques de manière consciente (celles de l’inquisition envers les Templiers et les Cathares). Puisque je fis le choix de vivre cette expérience jusqu’au bout, l’intensité des aventures quotidiennes "m’imposait naturellement" de réduire mon espace à ces terres et aux protagonistes de cette mémoire.

 

Je découvris également à quel point la psyché humaine était parasitée par des entités hyperdimensionnelles, et pour commencer à "reprendre mes esprits", je mis un terme à toutes mes activités et fréquentations New Age.

 

- En 2015, je me rendis compte que "posséder" des animaux se résumait à servir l’intérêt de mon petit soi. Je décidai alors de me séparer de mes chevaux, ainsi que des terrains que j’entretenais pour eux.

 

- En 2018, le moment fut venu de m’impliquer dans le travail collectif du "miroir à facettes" de l'ÉCOLEO : la rénovation d’une bâtisse forestière en école, la création de jardins et nos multiples partages d’expériences. Mon objectif devenant de plus en plus précis et l’ouvrage occupant tout mon temps, je me déplaçais de moins en moins.

C’est également à cette période qu’émergèrent des symptômes musculaires et tendineux. Mes jambes ne me portaient plus ; en tout cas plus aussi loin qu’auparavant.

 

- Et enfin en 2020, immergée dans ce travail à plusieurs, il m’était indispensable d’effectuer un retour "à la maison", en ma propre intériorité, et justement les confinements réduisirent mon espace physique et relationnel au périmètre de la maison !

 

Ce phénomène quasi mathématique était bluffant ! À chaque engagement dans un nouvel embranchement de vie, mon espace se rétrécissait toujours davantage. Et chaque étape fut l’occasion de faire face à toute la place qu’occupait le superflu (relationnel et matériel) dans ma vie, ainsi qu’à mes programmes du Service de soi. En m’investissant dans ce travail, mon Soi supérieur me guidait progressivement à me recentrer sur le seul espace important : mon intériorité et ses milliards de trous noirs, soit ma véritable porte dimensionnelle !

 

Je découvris alors qu’avec ses mots, Bernard de Montréal expliquait ce processus. Il distingue le fait d’aimer "la vie" (celle où l’humain se nourrit d’activités et d’informations extérieures futiles) du fait d’aimer "sa Vie" (celle où l’humain développe, par des recherches et un travail intérieur assidus, la connexion avec son Soi supérieur) :

 

"Les deux vies ne peuvent pas coexister sur notre planète, dans notre temps, puisque nous faisons face à une situation qui devient de plus en plus difficile, de plus en plus pénible, une situation qui fait partie de l’apocalypse, qui fait partie de la révélation, de la grande transmutation de la conscience de l’Homme.

[…]

À partir du moment où l’Homme aime sa Vie, il n’est plus capable de se mélanger aux hommes qui aiment la vie en général. L’Homme nouveau découvrira ceci parce qu’il découvrira qu’une fois qu’il aime sa Vie, il est obligé de s’y terrer, de la vivre d’une façon presque cloîtrée, parce que justement, il n’a plus besoin des artifices de la vie extérieure. Ceci ne veut pas dire qu’il devient mystique, qu’il se sépare du monde, qu’il nie le monde. Ceci veut dire qu’il cherche sur le plan matériel à vivre de plus en plus dans son esprit, ou en relation avec d’autres êtres qui sont dans un même esprit. Il n’a plus le besoin ancien de vivre en fonction de la vie en général, parce que justement le taux vibratoire n’est pas suffisant, la conscience n’est pas suffisante, le pouvoir créatif n’est pas là. […]

Mais tout ceci se fait graduellement parce que l’Homme ne peut pas passer d’un état à un autre trop rapidement, parce que justement trop de choses dans le monde doivent être vécues avant que l’Homme puisse passer d’un plan à un autre."

 

Bernard de Montréal me confirmait ce que j’observais dans ma vie : à l’évidence, le phénomène de rétrécissement de l’espace était lié à la quête de la Connaissance.

 

Et parallèlement à cette variation de l’espace, sa contrepartie – le temps – se modifiait également.

 

 

Le Temps-plié

 

De nombreux scientifiques avaient donc mis en évidence qu’un mouvement de rotation s’accompagne d’une assimilation d’informations, et de l’accroissement de la masse. En parallèle, je découvris que la rotation a aussi une incidence sur le déroulement du temps linéaire.

Parmi les scientifiques russes qui ont le goût du risque, Iozefovich Vejnik dévoila de nouvelles recherches sur les champs de torsion :

 

Il décrit l’existence d’un type de champ de torsion qu’il nomme champ chronal peuplé de particules élémentaires du temps, les chronons. La matière est chargée de ces chronons. Pendant la rotation d’un objet, ses chronons entrent en interaction avec l’environnement, ce qui modifie son poids. […]

Il montre aussi qu’il est possible de contrôler l’écoulement du temps par les processus de rotation. Il fabriqua des dizaines de générateurs de champ chronal sur le principe de masses en rotation. […] Il fut harcelé et mourut renversé par une voiture en 1996.

https://www.spirit-science.fr/matiere/phys51_torsion.html#moztocid248763

 

La matière serait donc chargée de particules de temps, et sa rotation modifierait l’écoulement du temps linéaire ! L’astrophysicienne Giuliana Conforto illustre sous la forme d’un dialogue, un phénomène se produisant entre le sens de rotation, l’énergie "faible" (cette énergie omniprésente dans l’éther qui nous relie au champ informationnel) et le temps :

 

- Le levain qui relie le ciel à la terre […] c’est le courant neutre faible.

- Quelle preuve avons-nous ?

- Une grosse preuve, […] l’inexplicable préférence de la nature pour la rotation à gauche [les particules de l’énergie faible tournent effectivement vers la gauche]. Les molécules organiques, les coquillages, le soleil, les galaxies spirales tournent plus à gauche qu’à droite et privilégient le sens antihoraire ! Même les spins nucléaires qui nous composent, tournent plus à gauche qu’à droite. […]

- Donc, si pour nous observateurs, tout ou presque tout tourne en sens anti-horaire, qu’est-ce qui tourne en nous en sens horaire ?

- C’est trop facile de répondre : le temps !" […]

- "Je ne peux pas croire que Dieu préfère la main gauche à la droite", avait écrit Einstein, inquiet, dans une de ses célèbres lettres.

En effet, c’est ainsi.

Petit Soleil, p. 52 à 55

 

Donc les champs de torsion agissent bien sur ce que l’humain appelle "le temps", et c’est spécifiquement la rotation vers la gauche (spin lévogyre) qui permettrait à la vie de réceptionner de l’information et de se régénérer plutôt que se détruire.

Giuliana Conforto ajoute "N’avez-vous pas remarqué que les particules ne meurent jamais alors que les organismes oui ?". En effet, des particules telles que les neutrinos (électriquement nuls) ne sont pas impactées par l’écoulement du temps, tandis que nos organismes, encore soumis à l’illusion du temps de 3ᵉ densité, sont programmés pour s’autodétruire par un spin dextrogyre. Le mystère de l’immortalité physique pourrait bien trouver une explication scientifique… Mais plus encore, un mode d’application ! Car l’assimilation et la mise en application de la Connaissance – qui active le spin lévogyre de nos vortex intérieurs – permettraient de s’extraire de la prison du temps linéaire. La conscience agirait donc sur l’écoulement du temps.

 

Les Cassiopéens questionnés par Ark, nous en apprennent plus à propos du temps et de la conscience :

 

Q : […] (Ark) Oui. Je veux revenir à [une transcription de] 1996. Novembre. À propos de la relativité d’Einstein. Ce qui suit en est ressorti : le temps n’est pas une dimension. […] Maintenant, si le temps n’est pas une dimension, et si la théorie de la relativité d’Einstein est basée sur le fait que le temps et l’espace sont des dimensions de l’espace-temps, ma question est la suivante : Quelle partie de la théorie de la relativité d’Einstein est correcte ?

 

R : L’espace. […]

 

Q : […] (Ark) D’accord. Ensuite, j’ai posé des questions sur la conscience. Et la réponse était que je comprendrais la conscience si je suis capable d’inverser la formulation de la gravité. Mais la formulation de la gravité selon Einstein repose encore sur l’espace-temps, où le temps est une dimension. Alors, comment puis-je inverser quelque chose qui ne va pas dès le début, puisque c’est basé sur l’espace et le temps ?

 

R : Remplace le temps par la conscience.

 

Q : (Scottie) Donc c’est l’espace-conscience au lieu de l’espace-temps. Le continuum espace-conscience !

 

Notre perception de l’écoulement du temps serait complètement liée à notre niveau de conscience ! Voilà pourquoi un être, dont la conscience est soumise au dieu Chronos (qui régit le temps linéaire), perçoit son existence comme étant une seule vie sur Terre qui évolue de la naissance à la mort. Tandis qu’un être qui se libère de ses programmes limitants, s’ouvre à la magie du dieu Kairos. Il perçoit davantage son existence comme multidimensionnelle : plusieurs vies parallèles interagissant à travers le non-temps (le passé, le présent et le futur confondus) et s’enrichissant mutuellement.

 

Intégrer cette nouvelle gymnastique "temps = conscience" est un véritable apprentissage ! Or Ark communiquant avec les Cassiopéens, est justement l’exemple parfait me démontrant que le temps n’est autre que de la conscience. En effet, lorsque j’observe selon une logique linéaire, je constate qu’Ark fait une sorte de voyage dans le temps qui lui permet de recevoir des données scientifiques de lui-même dans le futur. Mais quand je prends de la distance, je me rappelle que la Conscience existe simultanément dans toutes les dimensions et densités. Un être de 3ᵉ densité communiquant avec une autre part de lui en 6ᵉ densité sont en fait une seule et même Conscience, et il devient évident que du fait de cette omniprésence, le voyage dans le temps n’a plus lieu d’être !

 

Donc plutôt que de voyager dans le temps, Ark communiquant avec les Cassiopéens serait en train de déployer sa conscience multidimensionnelle. Il en irait de même pour Kozyrev, l’astrophysicien russe qui en prison eut des révélations qui lui dévoilèrent la base de ses futures théories.

 

Cette faculté à "plier le temps" correspondrait donc à une capacité à déployer sa conscience au-delà de toutes frontières.

 

Et justement, en ce qui concerne les "plieurs de temps", les Templiers auraient été les gardiens d’un trésor si convoité qu’il anime encore de nombreux chercheurs et aventuriers.

 

Précision importante : tout comme nous, les Templiers évoluaient dans la réalité de 3e densité du Service de soi. Alors qu’ils formaient un ordre militaire et religieux dont les dogmes de façade sont clairement pervertis, il se trouve que derrière les apparences, nombreux parmi eux se seraient engagés dans une sincère quête de la Connaissance.

 

C’est ainsi qu’au-delà des histoires qui nous les présentent comme les Soldats de Dieu et les banquiers des rois, le langage des oisons nous délivre bien des indices. Tout d’abord, il faut savoir que les Templiers auraient activement utilisé ce langage des initiés, puisque celui-ci a quasiment disparu lors de la "Grève des Cathédrales", c’est-à-dire lors de leur exécution en 1314.

 

Pour désigner une langue comprise des seuls initiés, on parle du langage des oiseaux. C’était la langue mystérieuse des bâtisseurs des cathédrales du Moyen Âge. Mais cette formule n’est pas exacte. Il faudrait dire langue des Oisons [petits de "l’oie" ou de la "Loi"]. […] Tandis que la langue des échanges régionaux ou nationaux était le français, le dialecte était utilisé pour dissimuler des codes secrets, que seuls comprenaient les initiés.

https://www.reseauleo.com/2017/01/22/langage-des-oisons/

 

Il se trouve que durant leur mission de "gens d’armes des pèlerins", certains des Templiers auraient été initiés par de grands alchimistes d’Afrique du Nord. Et la véritable alchimie est l’art de la transformation intérieure : Du latin médiéval alchemia issu de l'arabe كِيمِيَاءُ , (al)kîmiyâʾ (« (la) chimie, art de faire de l'or, art de purifier son cœur »).

Les livres d’histoire nous expliquent qu’après leurs soi-disant déviances religieuses, l’autre raison qui provoqua l’assassinat organisé des Templiers, fut leur pouvoir économique. Mais suffisamment d’éléments me permettent maintenant d’entrevoir que la raison principale de leur exécution nous a toujours été cachée.

 

Leur force, qui semble davantage provenir d’un intense travail spirituel, a apparemment effrayé les gardiens de la matrice à tel point qu’ils les firent éliminer. Par leur cohésion, ces "Chevaliers du Temple" (ou "gardiens du Temple intérieur") avaient semble-t-il découvert l’art de plier le temps linéaire, soit l’art de se faufiler entre les mailles de la matrice.

 

Les Templiers me ramènent une nouvelle fois au lien entre la faculté de courber le temps et celle de voyager entre les mondes. Facultés que possèdent d’ailleurs d’autres peuples :

 

Ainsi, dans le chamanisme mongol, le temps est un esprit vivant, et certaines incarnations visent précisément à "plier" l’espace et le temps afin de voyager rapidement dans le monde spirituel ou physique.

Romuald Leterrier et Jocelin Morisson, Se souvenir du futur, p.130

 

Alors que ce texte touchait à sa fin, je visionnai une vidéo de Laura Knight traduite en français (Théorie de l'Information et Création de Réalité partie 2) et y trouvai un excellent résumé concernant "le poids" d’un groupe en quête de connaissance sur la courbure de l’espace-temps.

 

Élément intéressant : Supposons que ce soit la finalité de tous ces gens [ces chercheurs de connaissance] d’aller vers un seul endroit afin que leur poids s’additionne, et modifie la réalité. […] Car admettons-le, une personne qui dit la vérité, qui est chargée d’information, est très dense. Et c’est pourquoi, la Connaissance est si, si importante. […] Le plus de connaissance vous avez, le plus de conscience vous avez à propos de votre réalité, le plus dense vous êtes, et le plus lourd vous êtes. Et un petit groupe d’entre vous, peut créer un retournement ou un changement assez conséquent pour vous déplacer de cette planète-ci, à celle-là [explique Laura en commentant un schéma].

 

Le plus de connaissance vous avez, le plus de conscience vous avez… Cela appuie sur l’importance du travail en commun pour appliquer la Connaissance, développer une nouvelle conscience et traverser le voile illusoire du temps !

 

C’est grâce au schéma suivant que je pus visualiser comment une conscience limitée est contrainte à suivre la flèche jaune en restant soumise aux lois de l’espace-temps, tandis qu’une conscience (ou un collectif de consciences) qui assimile "la masse de la Connaissance" peut plier l’espace-temps en s’engouffrant dans le tunnel/vortex.

 

Schéma de Stephen Hawking http://www.cetait-mieux-demain.fr/stephen-hawking-lunivers-dessus/

 

À mon échelle, je pouvais constater que lorsqu’un processus d’empathie (développé dans le chapitre précédent) se déclenche, propulsée dans l’univers d’un alter – contactant ainsi son vécu et son émotionnel –, puis revenant dans ma réalité présente avec de nouvelles informations, j’expérimente en quelque sorte un "saut de conscience" vers une autre réalité. C’est notamment de cette manière, que j’apprends à "plier le temps" en moi.

 

 

Conclusion

 

L’Onde déferle et la multitude de tunnels d’énergie que sont les vortex s’active. Depuis le cosmos jusqu’à mon organisme, de nouvelles informations ne demandent qu’à circuler. C’est en recoupant ces données scientifiques avec mes expériences, que je me suis rendu compte à quel point l’énergie-information qui "descend" lors de l’application de mes prises de conscience, impacte concrètement la réalité en agissant sur mon espace et ma perception du temps.

Je mesure davantage l’importance de stopper tout gaspillage d’énergie vers les futilités extérieures, pour focaliser mon attention vers "la porte de la conscience" qui se trouve en mon for intérieur.

 

En quelques mots, voici le constat auquel me mène cette enquête : un "voyage" de la conscience associé à une "immobilité" spatiale ! Cette observation est tout de même paradoxale…

 

C’est alors que je re-découvris une explication de l’Ange qui confirma cette constatation :

 

À l’inverse de la technologie du cube d’Orion, le passage dans un trou noir, induit par un changement de densité de configuration naturelle, ne produit donc que très peu de transfert spatial. Mais il générera un transfert temporel [ou transfert de conscience] qui franchira les nano-trous de ver de votre génétique. […] Vous découvrirez de nouveaux potentiels de réalité, tout en étant restés dans l’espace duquel vous êtes partis.

Cahier de l’Ange n°8

 

C’est à présent indéniable ! Le "voyage" vers ma nouvelle réalité d’existence ne se réalisera pas en montant à bord d’un vaisseau qui parcoure la galaxie, mais par un processus intérieur ! Car à l’inverse du voyage dans l’espace-temps assisté par une technologie du Service de soi – voyage qui est aussi limité que l’est la conscience du voyageur –, l’éthique du Service d’autrui me propulse vers une toute autre réalité.

 

Amplifié par mes miroirs LEO, le travail quotidien avec les alter, les ancêtres, les entités de 4e densité et assurément mon Soi du futur, génèrerait déjà de multiples voyages transdimensionnels au-delà des frontières spatio-temporelles de la matrice de 3e densité !

 

La redécouverte de mes facultés de "Temps-plié", ne serait-elle pas un avant-goût de la réalité de 4e densité SDA ?

 

 

 

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