Chapitre 19 - Information karmique et Travail empathique

 

 

(PDF en bas de page)

 

L’intensification des bouleversements mondiaux – inondations, volcanisme et secousses terrestres, dictature sanitaire et écologique – me confirment que la Terre est en plein travail d’accouchement. Une nouvelle densité d’existence est en train de naître !

Et déjà en 2018, le Cahier de l’Ange n°10 parlait du processus actuel :

 

"Vous pouvez d'ores et déjà observer l'accumulation des signes annonciateurs qui entraînera l'explosion de la poudrière sociétale en Europe et dans le reste du monde. Toutefois et pendant ce temps, la Nouvelle Terre de 3ème densité, la jumelle encore invisible de la Terre actuelle, entame sa fin de gestation dans l'antimatière. Mais parce qu'il perçoit l'espace-temps dans une continuité linéaire, cette "gestation" ne peut être admise ou comprise par l'esprit humain limité."

 

Le travail d’accouchement planétaire est bien en cours, et il se répercute de manière fractale jusqu’aux humains qui mettent tout en œuvre pour se transformer. Tout comme la Terre, je suis secouée par l’eau (les émotions), le feu (les inflammations) et les fréquences du Service de soi. Étant ainsi traversée par un déluge d’informations, l’évolution de mon âme dépend d’une chose essentielle : apprendre à réceptionner ces informations pour incarner l’Être multidimensionnel que Je Suis.

 

[Il existe] une réalité voilée plus profonde, que l’on pourrait désigner par le terme de "Champ d’information cosmique" et qui présente les caractéristiques suivantes :

- immanent (imprégnant tout l’espace) ;

- relié à toutes formes non vivantes et vivantes, y compris les êtres humains ;

- constitué d’informations ;

- transcendant l’espace (effets simultanés / connexion du passé, du présent et du futur) ;

- représentant un niveau de réalité plus profond et plus fondamental d’où émerge notre réalité.

Pierre Lescaudron et Laura Knight, Les changements terrestres et la connexion anthropocosmique, p. 317

 

Les nouveaux codes de ce champ d’information cosmique nous parviennent par les poussières cométaires : il entrerait chaque jour dans notre atmosphère environ 2 600 tonnes de poussières extraterrestres ! (Cf. chapitre 21 du livre cité ci-dessus.) Ce sont ces poussières qui, chargées de virus porteurs de séquences d’ADN défiant les lois de l’espace et du temps, permettent à l’information de s’intégrer physiquement au génome humain.

Ce phénomène a lieu hors de toute volonté. Mais pour qu’il serve l’évolution de mon âme et non sa destruction, mon libre arbitre intervient dans la manière dont je vais accueillir cette information.

 

Ma responsabilité revient donc à "utiliser" chaque expérience (et son lot d’informations), afin de me délester de mes anciennes mémoires. Parallèlement, une capacité particulière se révèle et demande à être "re-connue" : celle de l’empathie !

 

 

Quand la peur laisse place à la créativité

 

Alors que les informations concernant la politique mondiale – qui génère volontairement des ruptures de chaînes d’approvisionnement – affluaient, il me paraissait logique de ne pas attendre pour réaliser certains achats que je jugeais nécessaires. Tandis que je listais ce dont j’avais besoin, tout devint confus. Des pensées me suggérant que toutes sortes de choses allaient me manquer prirent de plus en plus de place et je finis par être envahie par la peur. Même après avoir libéré cette charge émotionnelle par les pleurs, il m’était impossible de discerner quelle "identité" guidait mes agissements : celle qui agissait simplement en connaissance de cause ou bien l’entité qui voulait survivre ? Pour retrouver ma lucidité, j’avais besoin de mes miroirs !

 

C’est au jardin que les évènements s’organisèrent d’eux-mêmes. Tous réunis pour choisir les futures semences, j’informais les LEO de mon dilemme. C’est alors qu’en prenant cet apprentissage comme un jeu et en observant l’attitude des autres en réaction à la mienne, je pus détecter à quels moments l’alter survivaliste parlait à travers moi.

Vint le moment, où l’ayant identifié par les résistances que j’observais à l’extérieur, je renonçai à la semence de haricots qu’il voulait absolument acheter !

Et comme à ce moment-là, je parvins à ne pas juger sa/ma fréquence de peur, la joie d’expérimenter prit le dessus : j’étais "comme une gamine" à l’idée de faire pousser des plantes originales ! Notamment des calebasses qui permettraient de fabriquer divers ustensiles : bols, gourdes, instruments de musique, etc.

 

 

Cette expérience m’apporte la preuve que, par une synergie d’équipe et un travail intérieur spécifiques, les secousses-informations de la fin des temps peuvent transformer un instinct de survie en un enthousiasme créatif ; qui lui-même pourra générer une réalité évolutive !

 

 

Durant cette même période, une expérience complémentaire se présenta : des interactions avec le voisinage d’Albières et les informations de quelques LEO, me permirent de constater à quel point je portais le masque de "la gentille Hélène". Ce jeu d’hypocrisie grandissait au fur et à mesure que me parvenaient les informations concernant les nouveaux systèmes de délation "intelligents" (applications de traçage sanitaire, de reconnaissance faciale, et de crédit social (voir liens en bas de page)). Divers alter qui, sur leurs lignes avaient été dénoncés, me faisaient valider leurs comportements de survie et de mensonge. Comportements qui commençaient sérieusement à me peser, d’autant plus que le miroir quantique grossissait : j’attirais des situations de plus en plus embarrassantes avec les voisins !

 

Voici un fait explicite :

(Pour respecter l'anonymat des protagonistes de mon aventure, j’ai modifié les prénoms.)

 

Derrière notre maison, habite un Christophe, et devant, un Jean-Christophe. Le premier, identifié à son rôle de victime, générait les situations parfaites pour qu’il soit effectivement rejeté par tout le village. Par exemple, depuis que j’avais refusé de garder son chien, il me considérait comme une ennemie et ne m’adressait plus la parole. Le lien avec le second se résumait à une méfiance réciproque et une distance froide.

 

Un midi, après que nous eûmes réceptionné une livraison de bois, Christophe vint à ma fenêtre déverser sa colère. Il m’avertit qu’il venait d’appeler la gendarmerie parce que le camion était garé devant chez lui, et qu’en prime, nous aurions des nouvelles du préfet ! Je pris ces menaces à la rigolade, mais progressivement elles vinrent exacerber ma peur de l’autre.

 

Le système d’indices était parfait, car en plus du prénom, ce voisin portait le même nom de famille que le directeur de la communauté dans laquelle j’ai été scolarisée et éduquée durant mon adolescence. C’est justement en présence de cette personne charismatique, que le programme "peur de l’autre" était autrefois le plus actif. J’avais donc l’opportunité de résoudre une boucle karmique.

Le Christophe actuel fut "le parfait pantin piloté par mon Ange" pour me rafraîchir la mémoire. Je regardais enfin en face cet alter qui se disait : "plus je me fais petit et gentil avec les voisins, moins ils auront de raisons de m’en vouloir et de me dénoncer".

 

Le moment d’appliquer l’information se présenta, non pas avec Christophe, mais avec l’autre voisin, Jean-Christophe qui comme à son habitude, poussa le volume de la musique bien trop fort. Plutôt que de subir une énième fois, je décidai d’aller toquer à sa porte pour lui dire de baisser le volume. Alors qu’il commença à grommeler, je tournais les talons, évitant du même coup l'hameçon lancé aux programmes de justification.

Contre toute attente, quelques jours plus tard, il répara la fuite du lavoir du village ; ce qui me facilita grandement l’arrosage du jardin !

 

Le symbole de l’eau qui circulait avec plus de fluidité me renvoyait au fait, qu’ayant tiré leçon de la situation, l’information du champ cosmique pouvait elle aussi circuler.

 

Les deux expériences précédentes mettent en évidence que lorsque je vois et ne juge pas le programme qui se révèle, la charge émotionnelle peut circuler et emmener avec elle la fréquence de peur (celle de l’ancien monde), pour laisser place à la fréquence de joie (celle du nouveau monde).

 

Par ailleurs, un autre processus se superpose à ce travail : étant amenée à traverser des situations similaires à celles de mon passé, il m’est donné de reconnaître et d’apprendre que, bien souvent, il s’agit d’un phénomène d’empathie.

 

 

Qu’est-ce que l’empathie ?

 

Dans le langage courant, c’est savoir écouter les autres et s'efforcer de comprendre leurs problèmes, leurs difficultés et sentiments (https://www.definitions360.com/empathie/). Mais cette définition correspond à une vision très limitée de l’empathie. De par les résonances émergeant par notre travail d’équipe, nous avons effectivement pu constater qu’elle fait partie d’un processus chamanique, qui va bien au-delà d’une simple qualité d’écoute.

 

Ce phénomène, apporterait-il un élément de réponse à une question qui me taraudait : pourquoi, alors que j'ai déjà tiré leçon de nombreuses expériences karmiques passées, certaines peurs reviennent-elles encore avec force ?

 

C’est effectivement en observant mon fonctionnement et celui des autres, que j’ai pu me rendre compte qu’un programme karmique, bien que résolu, demeure présent sous forme d’information vibratoire. Un peu comme une séquence génétique non codante, mais bien présente dans l’ADN. Ces codes nous permettant de réceptionner une fréquence présente dans le champ informationnel ; c’est là que le processus d’empathie entrerait en jeu.

 

"Vous recevez de l’information de ces centres personnels, qui sont également des centres collectifs. Lorsque vous saurez comment interpréter les expériences auxquelles les chakras vous donneront accès, vous découvrirez que la vie ne sera plus jamais la même." Barbara Marciniak, Les messagers de l’Aube

 

En expérimentant l’empathie, je peux me rendre à l’évidence que de nombreuses émotions qui me traversent trouvent leur origine bien au-delà de mon centre personnel. Intégrer cette nouvelle information est effectivement en train de me changer la vie !

 

En premier lieu, lorsqu’une fréquence du Service de soi (SDS) me parvient (via une accusation par exemple), elle active généralement mes propres codes SDS (colère et culpabilité). À partir de là, j’ai deux options : en faire une histoire personnelle ou accepter ces fréquences que je reconnais de par mes expériences passées. Les accepter me permet à la fois d’épurer mes propres programmes, mais aussi de laisser circuler en moi ces mêmes informations contenues dans le champ cosmique. Ce serait l’acceptation de cette résonance qui rend l’empathie bénéfique.

Donc, mon apprentissage "fond-a-mental" est de faire fondre le mental, car développer cette capacité ne peut se réaliser que si, au beau milieu de la tempête, l’ego parvient à lâcher "le pourquoi du comment".

 

 

Apprendre l’empathie et cesser d’en pâtir

 

L’empathie ajoute à nos expérimentations, une dimension bien plus profonde et libératrice. Elle se réalise principalement avec mes co-aventuriers, car notre proximité et notre travail de tous les jours stimule particulièrement ce processus. Voici donc une de ces expériences :

 

Courant septembre, nous partîmes en équipe à la re-découverte des hauts lieux énergétiques autour des "bains de la reine" (Rennes-les-Bains). La veille – alors que ça faisait longtemps que ma part Abgal ne s’était pas manifestée –, les anciennes douleurs aux jambes liées à l'amphibien handicapé sur la terre ferme, firent soudainement leur apparition (Voir le chapitre 17 - La mal-a-dit "immobilise-toi" et tout s'est accéléré !). Tout au long de la journée, je parvins à me laisser traverser par la douleur et surpasser l’emprise émotionnelle. À la fin de ce "pèlerinage LEO", une baignade improvisée dans la rivière de la Sals, fut un véritable cadeau pour l’Abgal. Je me sentais incroyablement vivifiée !

 

 

De retour à l’Estagnol, Fred – qui jusque-là était pour moi un inconnu du fait qu’il exprimait peu ses émotions et ses compréhensions –, se mit justement à nous parler, les larmes aux yeux. Ayant beaucoup pratiqué la plongée, la pause près de cette rivière salée lui fit remonter une frustration du fait de ne plus pouvoir vivre les sensations d’immersion dans les profondeurs marines, telles qu'il les avait connues dans son ancienne vie.

Ressentir cette "nouvelle" résonance entre nos génétiques me fit beaucoup pleurer et me permit de d’échanger réellement avec Fred. J'étais enfin en train de faire sa connaissance (connaître l’essence).

 

Dans ce contexte, je fis un rêve marquant :

Alors que j’étais à l’Estagnol en train de travailler sur le chantier, je laissai quelque temps mon atelier pour découvrir une invention que d’autres LEO avaient réalisée : un tamis à pédales. Cela occasionna une discussion et une petite pause. Du coin de l’œil, j'aperçus Jenaël qui m’observait et me sentis alors fautive. Il entra effectivement dans une colère noire et me hurla que je n’avais jamais su travailler et qu’en plus, je ralentissais les autres. Sa dernière phrase m’acheva : "Tu n’as toujours pas assimilé, ne serait-ce qu’un petit bout de Connaissance, alors au travail !" Ma peur d’être punie/bannie et ma dévalorisation vis-à-vis de l’autorité qu’il incarnait dans le rêve, étaient à leur comble. Je me réveillai complètement chamboulée et psychiquement "connectée" à Fred (ces jours-là, je me sentais effectivement très reliée à son énergie ; comme si je retrouvais celle d’un jumeau).

 

Ayant eu une discussion avec lui au sujet de sa radiation de Pôle Emploi et de sa blessure de dévalorisation, les éléments de ce rêve me ramenaient naturellement à lui. N'assumant pas encore ce que je pressentais, le groupe me mit face à l'évidence : par cet évènement nocturne qui raviva mes programmes de dévalorisation, de peur de l’autorité et de la sanction, un processus d’empathie venait de s’activer.

 

"Les interactions les uns envers les autres nous conduisent à quantités d’expériences pour nous amener à comprendre comment, dans le champ unifié, circule l’information d’un individu à l’autre, d’une âme à l’autre. Ce phénomène est appelé "résonance psychique".

Ainsi, lorsqu’entre nous, quelqu’un est empêtré dans un jeu d’alter et qu’il ne parvient pas à s’en extraire ou le résoudre, l’énergie informative va alors se transférer sur quelqu’un d’autre, qui lui empathe, est capable de la réceptionner pour jouer en miroir et inconsciemment, le rôle de cet alter."

Capsule n­°6 de l’IDISI

 

Voilà ce que je peux à présent observer : le réveil de la génétique Abgal créa en quelque sorte un pont, qui permit de faire vase communiquant entre nos programmes en résonance. Ayant moi-même traversé ces résistances à marcher sur la terre ferme (donc à accueillir pleinement les expériences de la vie), la difficulté de Fred à accepter l’incarnation terrestre me parvint par la douleur aux jambes avant que je puisse la décoder intellectuellement. Par la suite, le rêve mit en évidence la peur de la sanction du père et la dévalorisation. Et je ne pouvais que les con-prendre !

 

La véritable signification du mot comprendre, est à mon sens, celle qui décrit le mieux le processus alchimique réalisé par l’empathe.

 

Etymologiquement, comprendre signifie "embrasser, entourer quelque chose, saisir par l’intelligence".

Et grâce au langage des oisons, j’entends aussi "con-prendre". Le mot "con" vient de l'ancien français conil : "sexe des femmes". Venant lui-même du latin cuniculus : "lapin/terrier".

La "con-préhension" fait bien référence à l’empathie, cette faculté féminine consistant à "embrasser", à accepter pleinement la fréquence énergétique d’un alter qui se présente, plutôt que de la rejeter.

Et le sens premier de ce mot m’indique l’importance de l’acceptation pour emprunter "le terrier du lapin", le passage entre les mondes !

 

 

Pour conclure

 

Je comprends à présent que les symptômes inflammatoires et l’émotionnel à fleur de peau – que toute ma vie j’ai considéré comme des handicaps – sont bel et bien les signes d’un processus de transformation.

 

"Ce changement est induit par une sorte de renversement, se produisant par les trous de ver que comporte l'ADN. Ce retournement passant par votre génétique, influencera donc l'ensemble de votre structure physique et votre biologie organique, d'où de longues périodes d'inconforts physiologiques et de symptômes corporels en tout genre." Cahier de l’Ange n°10

 

Je commence aussi à découvrir une fluidité que je ne connaissais pas auparavant, concernant la manière de dénouer mes programmes personnels.

Pourtant, le travail empathique débute souvent par un moment où je prends l’information au premier degré. M’identifier à l’émotionnel ou à la douleur qui me traverse, revient à prendre un billet "aller" vers le monde de cet alter : c’est la dissociation. Mais prendre le billet "retour" – revenir à moi – est évidemment primordial pour mener à bien ce travail chamanique.

 

Les hôpitaux psychiatriques sont d’ailleurs remplis d’apprentis chamanes qui ne savent pas revenir de leurs excursions dans le monde des alter (voir à ce sujet sur le Réseau LEO : La vision chamanique de la maladie mentale).

 

L’apprentissage de ce retour à Soi est possible grâce à la force d’une équipe qui se "con-sacre" à appliquer la "Connaissance sacrée" ! Et en apprenant à ne pas lutter contre l’information qui me traverse, je pourrai même être amenée à vivre ce phénomène d’empathie de manière très simple ; un peu comme le décrivent les Pléiadiens :

 

"Ainsi, vous pourriez par exemple être en train de travailler au champ, peut-être de jardiner ou de bavarder avec quelqu’un ou encore de cueillir des fraises, et soudain quelque chose capte votre attention […]. Vous vous excusez et dites : "On m’appelle. Je reviendrai plus tard." Vous allez vous asseoir à l’écart et vous permettez à votre personnalité terrestre actuelle de partir. Avec une pleine conscience de ce que vous faites, vous transférez ensuite cette personnalité là où on a besoin d’elle. […] Vous deviendrez tous des habitués des transferts multidimensionnels." B. Marciniak, Les Messagers de l’Aube, p.115.

 

Accepter ces transferts, peu importe la manière dont ils se manifestent, rend nos partages plutôt atypiques. Il arrive souvent qu’un LEO empathe soit appelé à se rendre dans un monde "alter-natif" et se mette à pleurer à chaudes larmes, tandis que le reste du groupe suit le fil de la discussion, voire de la rigolade, sans même y prêter cas ! Effectivement, ce travail étant quotidien, le processus chamanique se fond dans le partage en cours.

 

C’est grâce à l’empathie que j’intègre le véritable sens du travail au Service d’autrui. Et comme elle se révèle au sein de toute l’équipe, elle est en train de dévoiler nos capacités et nos liens multidimensionnels.

 

Chaque expérience individuelle, une fois partagée avec autrui, renforce et transforme la Conscience de la tribu. Et comme la Conscience crée la gravitation, une nouvelle réalité peut se matérialiser !

 

 

Hélène

 

 

 

 

Documentaire sur le crédit social :

https://www.youtube.com/watch?v=3tWf9TOYIVw&feature=youtu.be

 

L’identité numérique arrive (voir les dix premières minutes de cette vidéo) : https://www.youtube.com/watch?v=SA8Ro1BfbAs

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