Chapitre X, 3ème partie - Le prédateur pris à son propre piège

 

 

L'avancée périlleuse du funambule entre les cornes du diable qu'est l'expérimentation du chercheur de Connaissance dans cet univers au service de soi (SDS) s'affine et se perfectionne. Je parviens donc à lire de plus en plus efficacement le message que m'adresse ma Supraconscience à travers la prédation...

 

 

C'est ainsi que l'aboutissement d'un cycle d’envergure se manifeste dans les événements du quotidien de manière explicite. Je dirais même que j'ai eu droit à un bouquet final ! L'aventure à la fois grave et cocasse dont je vais vous faire part, nécessite que je développe le contexte et certaines scènes en détail. Je vais cependant tenter de ne pas trop m’appesantir…

 

David est parti avec les qualités propres à la polarité masculine, dont entre autres les compétences informatiques.

Il faut préciser que ce n'est que depuis la création du Réseau LEO et de L’Épopée de la Conscience (environ deux années) que je me plonge complètement dans le monde informatique avec l'acquisition de mon premier ordinateur. Cela coïncide avec la transition de mon ancienne vie d'endormie à la nouvelle bien plus consciente, de la transformation d'une Hélène écolo et révoltée à une Hélène en quête de connaissance.

 

Venons-en aux faits : après plusieurs essais infructueux pour mettre à jour le système d’exploitation de mon ordinateur qui commençait sérieusement à ramer, je laissai décanter les émotions d'impuissance et de colère afin de ne pas me faire pomper toute mon énergie par mon prédateur exigeant… je songeais alors sérieusement à confier l'ordinateur à un professionnel, mais celui-ci était à plus d'une heure de route et je n'avais pas de véhicule.

 

Une dizaine de jours plus tard, je sentis la confiance refaire surface et je pris ma journée pour tenter à nouveau l’expérience. Après avoir visionné des tutoriels sur internet puis désinstallé l'ancienne version infructueuse, je lançai une nouvelle installation du système. Mais je finis à nouveau par me retrouver face au même problème de mot de passe refusé. J’étais en train de déclarer forfait, quand un voisin (que j’appelle "le yogi du village" de part son parcours atypique et ses pratiques assidues) me rendit visite pour échanger quelques mots. Le moment n’était pas bien choisi. Je me voyais déjà le raccompagner gentiment vers la porte mais… fait inattendu, il connaissait parfaitement bien cette technologie et me proposa son aide.

 

Nous décidions alors de reformater complètement le disque dur afin de repartir sur du nouveau. Cette chirurgie technologique s'étala sur trois jours, et ce fut la première fois que je comprenais – par l'intermédiaire d'un interprète patient – la logique et les bases de ce langage d'extraterrestre… et le tout gratuitement !

En parallèle, je sentais que ce processus était en train de s'effectuer dans mon propre organisme. Mon système d'exploitation, donc ma manière d'interpréter les données qui entraient dans ma bulle de perception, devenait de plus en plus performant ! L'effacement d'anciens programmes qui ralentissaient ma lecture de la "réalité telle qu'elle est" laissait place à de nouvelles informations. L'intérêt que je prêtais à ce système robotique m'étonnait moi-même.

Ma partie masculine/technologique commençait à être acceptée.

J'étais en train de passer d'un mode répulsif à un mode compréhensif… D'ailleurs, je venais de me plonger dans la lecture d'un pavé passionnant concernant les procédés permettant de transformer un humain en véritable robot : MK, Abus Rituels et Contrôle Mental de Alexandre Lebreton.

 

 

Le jour de la matérialisation de ce grand virage, je reçus la visite de ma mère. Cela faisait bien longtemps que l'on ne s'était pas vu, et elle venait de loin, consciente de l'importance des paliers de détachements que je vivais vis-à-vis d'elle et de la famille en général. D'ailleurs, je la nommerais Camille et non "ma mère", car nos âmes ont des connexions bien plus larges que l'unique lien mère-fille propre à cette incarnation.

 

Et comme par hasard, elle aussi était en train de remettre totalement à jour son système informatique (elle utilisait le même depuis 15 ans) ! Je sentais cette transformation qui s'opérait en elle aussi. Son contrôle s'était amoindrit et elle était beaucoup moins en lutte contre l'information qui auparavant générait chez elle incompréhension et dévalorisation. Ce qui veut dire que son prédateur s'interposait avec moins de force entre sa partie humaine qui demande et son interlocuteur qui lui délivre des clés.

 

Une des raisons de sa venue était de m'informer qu'elle avait fait le choix de me transmettre de l'argent. Argent qu'elle gardait auparavant comme sécurité pour "au cas où"… Il était d'ailleurs tellement bien préservé, que la banque avait classé le compte "en déshérence". "La déshérence est la situation dans laquelle se trouve un bien ou un patrimoine lorsque son propriétaire est décédé sans laisser d'héritier connu." Wikipédia.

 

C'était quand-même bien vu ! Le système SDS avait décidé que Camille était morte et qu'elle n'avait pas de descendance ! Ce qui concrètement se traduisait par l'annulation du taux d'intérêt et l'inaccessibilité du compte jusqu'à dans plus de 6 mois (et encore, si les démarches étaient insistantes). Et d'ici 6 mois tout peut arriver, notamment une subite maladie contagieuse au sein des banques ! Bref, déjà que l'argent est fictif, là il l'était encore plus… Mais quand une impulsion de remettre en mouvement de l'énergie prend forme, les effets qui en découlent ont des conséquences qui se ressentent bien au-delà de la sphère matérielle car elles impactent les densités qui gouvernent notre réalité.

Le système entropique a pour logique l'accumulation d'énergie par l'anéantissement des flux, alors que le système évolutif a pour base la mise en circulation de l'énergie sans aucune restriction.

 

Elle décidait de récupérer l'énergie gardée par la Bête (20 000 €) et de la partager entre ses trois enfants (20 000 / 3 = 6666) ! Tiens donc, la Bête nous informe qu'elle est passé de 3 à 4 pattes (de 666 à 6666)… Peut-être allons-nous profiter de ses capacités ?

 

Parmi les évènements extérieurs qui reflétaient l'étape de transformation en cours, elle me transmit un couteau que j'avais commandé à un forgeron ardéchois, il y a de ça plus de deux ans. L'attente fut longue, et pour cause. Dans mes années paysanne-voyageuse-guerrière, j'avais toujours un couteau à la ceinture (même quand je portais une robe !). Je trouvais cela nécessaire pour mes multiples activités manuelles… C'était certes très pratique, mais avec un peu plus de recul je m'aperçois qu'une part non conscientisée était prédominante : celle de pouvoir me défendre contre l'agresseur !

 

Donc, avec la vue d'ensemble qui se développe, je savais que ce couteau me parviendrait quand je ne serais plus manipulée par le programme "femme en danger" et que je n'aurais donc plus à me défendre contre le mâle ! Et comme par hasard, mon ancien couteau s'est cassé juste avant que je rencontre David, et le nouveau arrive juste après son départ.

 

Le cadre est donc posé pour vous raconter cette aventure qui vaut le détour... elle se déroula lors de la journée centrale du changement de programme :

 

 

Le tour de magie de 4ème densité

 

Nous étions, Camille et moi, en train d'échanger nos compréhensions autour de la table. Puis innocemment, en entendant du bruit, elle me demanda si il y avait quelqu'un qui habitait au dessus. Nous nous mîmes alors à parler de cette personne, Robert, à travers qui le corpus prédateur continuait à m'enseigner après le départ de David. Mais de manière indirecte car il n'entrait quasiment pas physiquement dans ma bulle de perception.

Robert était un homme d'une bonne soixantaine qui venait régulièrement profiter de l'appartement de sa fille pendant les périodes où elle n'était pas là. Auparavant, j'avais déjà eu l'occasion de le croiser et ayant senti son prédateur séducteur et manipulateur de femmes, je me tenais à distance.

 

J'expliquais à Camille, la manière dont il s'y prenait pour soutirer de l'énergie. Il se plaçait soit dans le rôle du petit garçon gâté, intrusif, à qui tout est dû  et qui a absolument besoin d'aide ; soit dans le rôle du maître psycho-philosophe qui sait tout et qui envoûte sa proie avec ses talents de pianiste hypnotiseur.

 

Cette ruse du prédateur s'active en présence des femmes, il se dit d'ailleurs spécialiste de la cause féminine. Il organise des cercles de femmes et "aide" avec ses précieux conseils de connaisseur celles qui rencontrent des difficultés dans leur couple. Il ne fait aucun doute qu'il les connaît bien, mais selon le regard du prédateur…

 

Je citais à Camille quelques exemples, dont le fait qu'il est venu à plusieurs reprises solliciter mon aide pour diverses choses, comme par exemple mettre en route une photocopieuse qu'il parvint ensuite à faire fonctionner sous mes yeux… car en fait, il n'avait tout simplement pas essayé auparavant ! Ou encore, il me demandait "est-ce qu'il y a des salades dans le jardin ?" (jardin que je partage avec sa fille mais dont moi seule m'occupe) avec cette attitude de "tout m'est dû".

Et je ressentais la perversité qu'il dégageait, notamment par le fait qu'il se baladait fréquemment à moitié à poil jusque sur la place du village. Il allait même jusqu'à me dire d'entrer, alors qu'il n'avait pas fini de s'habiller, au moment où je toquais à la porte pour rendre quelque chose à sa fille. Je me retrouvais alors face à lui en train de remonter sa braguette. Il lui est aussi arrivé de me faire le compliment que j'avais un beau cul !

Tout cela n'est pas bien méchant d'un point de vu extérieur, mais en tenant compte de l'énergie qu'il dégage, ça prend une toute autre ampleur...

 

Bref, j'énumérais les exemples et expliquais à Camille que la dernière intrusion datait d'hier soir, où pour la deuxième fois il vint me demander comment lancer la machine à laver (que je partage aussi avec sa fille). Je lui répondis sur un ton sec qu'il n'avait qu'à lire les instructions sur la machine et qu'il se débrouille pour trouver de la lessive (car il lui paraissait tout à fait normal de se servir de la mienne…! ). Je sentais que j'allais être testée bien plus intensément et que je serais donc amenée à me positionner avec force, mais dans quelles conditions, je l'ignorais…

 

Ces exemples me permettaient d'expliquer à Camille de la manière la plus explicite possible, comment un prédateur peut agir à travers un humain programmé pour soutirer de l'énergie à son environnement. Elle pouvait comprendre que la venue de cet homme dans ma bulle de perception juste après le départ de David n'était pas anodin. Le fait qu'il vive au dessus de ma tête (symbole de l'étage supérieur de la 4D du Service de soi) était aussi très illustratif.

 

Mais elle me confia à son tour qu'elle observait, ces temps-ci, un phénomène déconcertant en elle. Autant, les informations qu'elle entendait ne pouvaient pas être totalement comprises, autant son corps, lui, vibrait lors de la réception du message. Je lui répondis qu'il n'y avait rien de plus normal car c'est suite à l'expérimentation que le corps communique au cerveau des informations sous forme de prises de conscience. Et vu ce qu'elle actait elle aussi dans son quotidien, le processus était bien en cours...

 

Comme nous allons le voir "Toute nouvelle expansion de connaissance déclenche une réaction du Sytème de Contrôle." Laura Knight

Effectivement la scène qui suit illustre comment la prédation actionne son système d’alerte lorsque un ou plusieurs individus sont sur le point d’effectuer une importante remise à jour de leurs données en effaçant leurs anciens programmes. Et comme s'était le cas pour nous deux, les magiciens de 4D firent entrer en scène "le Robert" pour tenter de détourner l'attention...

 

Nous étions donc en train d'échanger sur le "prédateur d'au-dessus" quand tout à coup nous entendîmes Robert courir en criant "Merde ! Merde ! Merde !". Je dis à Camille, en rigolant : "Tiens, on dirait que notre discussion provoque des choses de son côté !" Et elle me répond en regardant par la fenêtre : "C'est son camping-car, il part à reculons dans la pente !!!"

 

La scène se déroula très vite. Il courut, tenta d'ouvrir une porte, mais le camion était fermé à clé, il essaya alors de le ralentir en se positionnant derrière alors que le véhicule arrivait vers le mur d'une maison. Par un réflexe illogique de survie… il resta derrière jusqu'au bout et se retrouva pris en sandwich entre son véhicule et le mur !

 

Nous accourûmes avec l'angoisse d'être confrontées à une vision d'horreur. Heureusement, ce n'était pas le cas. Il hurlait et avait l'air bien vivant ! Nous comprîmes par la suite que le camion avait en fait été limité dans son rapprochement du mur par la voiture du yogi-informaticien qui se trouvait de l'autre côté, car sans elle notre homme aurait littéralement été aplati. Le papi du village était déjà là à essayer de pousser le camion. Nous nous y mettions donc à trois et je lui demandai en criant à plusieurs reprise "Où sont les clés ?!". Mais la seule chose qu'il trouvait à me répondre à chaque fois était "c'est bon, ça va...".

 

Au bout d'un moment et contre toute attente, il réussit à se dégager. Tout voûté, il fit quelques pas vers le centre de la place en se tenant le bras, puis il se retourna et d'un air hébété nous regarda avec un sourire aux lèvres.

Ce fut pour moi le signal qu'il était littéralement possédé et télécommandé par son prédateur et qu'il était temps pour moi de me ressaisir.

 

Même (et surtout) dans une situation comme celle-ci, je devais m'aligner pour cesser tout soutirage d'énergie du corpus prédateur qui passait par cet humain, ou plutôt par ce portail organique, comme illustré dans la série "V".

D'une traite, je quittai le groupe sans rien dire et rentrai chez moi. Une fois à l'intérieur j'observais un phénomène très bizarre qui se déroulait dans mon corps. Une partie de moi (celle qui s'identifie à la 3ème densité) était sous le choc, tout mon organisme tremblait et mes jambes flageolaient carrément sous le coup des émotions.

Mais une autre partie – celle qui VOIT cet évènement comme une mise en scène – ne pu s'empêcher de rire. Le mélange de ces deux polarités me plongea dans un fou-rire que je ne pu refréner. Je riais à la fois nerveusement, à la fois à cause de l'incohérence de la situation (qui la rendait comique) et à la fois de gratitude pour cette enseignement grandiose. J'hallucinais quant à l'extrême pédagogie de la leçon que nous recevions toutes les deux.

 

Quand Camille rentra, je m'exclamai "Tu as vu comme c'est énorme ! Pile au moment où nous parlions de son prédateur, voilà qu'il se manifeste d'une manière complètement insensé !!! Là, tu as l'exemple sous tes yeux de la façon dont la prédation hyperdimensionnelle peut prendre possession d'un humain, le rendre écervelé afin d'en faire son "jou-jou" pour agir sur l'entourage. "

 

En connaissance de cause, Camille alla plusieurs fois voir l'accidenté tout en développant la capacité d'observer la manière dont il la baladait. Après être rentré chez lui, il était revenu se coucher en plein milieu de la place, donc devant nos fenêtres...

 

Petite parenthèse sur ce sujet délicat : évidement, c'est normal d'un point de vue 3D de porter secours à une personne en danger, le réflexe d'aider un congénère est "humain". Mais ici, il s'agissait pour moi de m'aligner en raison du prédateur utilisant Robert. Cela pouvait donc, en fonction du degré de possession, donner lieu à une "non assistance à personne en danger", mais il s’agissait en fait ici de l’implacabilité telle qu’enseignée à Carlos Castaneda par Don Juan. Car il faut bien prendre conscience – et on ne le peut tant qu'on ne l'a pas expérimenté – que cela se passe aussi sur un autre plan où toutes les ruses sont bonnes (comme utiliser des portails organiques) pour soutirer l'énergie vitale de l'âme qui cherche à s'extraire de l'illusion de la matrice SDS. Voilà par exemple, ce à quoi David et son prédateur m'avaient préparé. Et cet évènement est lui-même une préparation pour la suite…

 

Je pouvais alors constater que l'énergie émotionnelle que je dépensais en réaction à ces stimulis extérieurs provoqués par les magiciens de 4D était bien moindre, comparé aux mêmes genres de situations vécues quelques années auparavant. Dans ce contexte, l'idée tout à fait logique qui me vint à l'esprit pour rompre le canal de prédation s'installant par l'élan "humain" de Camille, était d'appeler les sauveurs professionnels. Et bien que la victime ne le voulait pas, les pompiers, le SAMU et les gendarmes débarquèrent vingt minutes plus tard.

 

Alors qu'ils étaient tous dans la maison de Robert, nous étions toutes deux sur la place à observer un phénomène étrange : le voiture du SAMU, garée à l'endroit de l'accident (car le camping-car avait été enlevé) se mit à déconner électroniquement. Les rétroviseurs se pliaient et se dépliaient, les lumières intérieures s'allumaient et les portes se déverrouillaient… Voici encore une manifestation qui nous enseignait à propos de la prédation : celle-ci agit par l'électromagnétisme (ou force nucléaire forte).

 

Je n'ai pas accès à leurs procédés technologiques, mais cet évènement me permis de comprendre que les contrôleurs de la Matrice, lorsqu'ils interfèrent dans notre réalité depuis la 4D, doivent en quelque sorte diffuser vers un lieu précis un chams électromagnétique très dense afin que leurs actions soient camouflées par un nuage hypnotique. Et ce nuage électromagnétique peut modifier la vibration de la matière environnante (la route, le mur de la maison, les végétaux) ainsi que le fonctionnement électronique d'un engin (la voiture) et réverbérer à moyen ou long terme ce champ d'énergie nucléaire forte portant l'empreinte de l'incident. Cela me permet de vérifier ce que j'ai souvent lu : que lorsqu'il y a interférence depuis la 4ème densité, que ce soit sur le lieu d'une abduction physique où après la formation d'un crop circle par exemple, le champ électromagnétique s'en trouve fortement modifié au point de faire tomber en panne des appareils.

Pour approfondir vos compréhensions sur les effets de l'électromagnétisme, je vous propose de lire ce texte synthétique écrit par Gé, le scientifique qui se dévoile peu à peu au sein du Réseau LEO...

 

De plus, une intuition me dit que la fameuse mémoire des pierres (ou de la matière en général) est liée à ce phénomène. Par exemple, il m'est souvent arrivé de me sentir très mal dans un lieu précis (une pièce d'une maison par exemple) où j'appris par la suite qu'il s'était passé quelque chose de terrible. Maintenant je comprends que tout évènement "terrible" d'un point de vu 3D est mis en scène par les magiciens de 4D et qu'ainsi ils laissent leur empreinte électromagnétique qui se répercute dans le temps. La possession hypnotique peut donc s'étendre...

 

Quand nous parlâmes de la réaction bizarre de la voiture au gars du SAMU, il nous répondit naturellement "Elle est possédée !"

 

Tout était là ! Impossible de passer à côté !

 

Notre accidenté de la prédation allait être emmené à l'hôpital de Carcassonne et opéré du poignet.

La relève était prise et nous éprouvions le besoin de marcher dans la nature.

Et comme par magie, Camille qui venait de vivre l'évènement avec un certain recul, discutait maintenant sans difficulté et sans résistance du système de prise énergétique orchestré depuis une strate invisible. Le besoin d'expérimentation dont je lui parlais à peine une heure auparavant venait d'avoir lieu et démultipliait l'intégration du phénomène "prédation".

Nous étions maintenant en mesure d'observer objectivement comment un humain peut agir sous l'emprise totale des marionnettistes de 4ème densité. Ils lui ont fait "oublier" de serrer le frein à main, fermer à clé son véhicule, être devant sa fenêtre juste au moment où son camping-car commençait à partir, chercher à le retenir et ne pas se dégager à l'approche du mur, répondre "c'est bon, ça va..." lorsque je lui demandais où étaient les clés (alors que manifestement ça n'allait pas du tout), refuser que les pompiers viennent, le tout accompagné d'un savant jeu de prise d'énergie…

 

Depuis leur plan de conscience, nos Soi supérieurs ont permis à la prédation cette mise en scène comportant une suite d'éléments aberrants et irrationnels afin que nous puissions ouvrir les yeux sur la capacité de manipulation des Maîtres de l'entropie. Et comprendre que nous aussi, pouvons être possédés de la sorte si nous laissons le canal de prédation s'installer à travers nos failles (apitoiement, culpabilité, attachement…). Cette situation était donc porteuse d'un grand enseignement – mais aussi d'un grand entraînement – car elle nous poussait à nous aligner et exercer notre discernement dans une situation d'urgence.

 

En marchant, Camille me dit : "je me sens soulagée de m'éloigner de cet homme !"

Une évidence apparaissait : toutes deux avions connu Robert en tant que bourreau sur une autre ligne temporelle et cette fois-ci ce n'était plus lui qui avait le pouvoir de vie ou de mort sur nous… la situation s'était quelque peu inversée !

Je n'avais effectivement plus à me défendre (avec mon couteau) car nous venions d'avoir la confirmation que le prédateur qui persévère sur sa voie SDS se fait tôt ou tard écraser par ces mémoires, symbolisées ici par l'arrière (donc le passé) de son véhicule (qui le propulse sur sa route karmique). Son poignet droit (côté masculin) s'en trouvait d'ailleurs meurtri.

 

Dans un but évolutif, le cycle d'incarnation présente continuellement à l'individu en pleine expérimentation les évènements limitants qu'il a provoqués par le passé – ou plutôt qu'il provoque sur d'autres lignes temporelles – afin que sa conscience puisse croître et que son âme puisque se libérer de la programmation matricielle.

 

Mais s'il persiste à adopter l'attitude "je ne vois rien, je ne dis rien et je n'entends rien...", il va vers le propre anéantissement de son âme.

J'étais reconnaissante d'accéder à ces compréhensions et d'avoir pu partager tout cela avec Camille. J'étais aussi heureuse de constater que je n'avais laissé filer que peu d'énergie dans cet incident, mais je l'étais peut-être un peu trop…

 

 

De l'autre côté du mur amnésique

 

Le soir venu, malgré l'intense fatigue, je ne parvins pas à trouver le sommeil. Les incidents de la journée ne cessaient de repasser en boucle dans ma tête et il fallu que je note toutes mes compréhensions pour avoir un semblant de relâchement cérébral.

 

Mais un autre volet de l'histoire attira mon attention : un quart d'heure après l'accident (avant de s'allonger sur la place), Robert vint bouger son véhicule mais laissa sa porte ouverte, qui – si Camille n'avait pas eut le réflexe de la fermer en court de route – aurait percuté la voiture de sa fille en stationnement que j'utilisais actuellement. Ce véhicule eut d'ailleurs, en ma présence, un problème de fermeture centralisée qui, depuis plus de trois semaines, maintenait toutes les portes, hormis celle du conducteur, verrouillées. D'un point de vu symbolique, sans l'intervention extérieure de Camille, le prédateur de Robert aurait endommagé le chemin de vie de sa fille ainsi que le mien.

 

Au moment précis où me vint cette pensée, monta une grosse nausée et une envie de fuir ce qui demandait à être vu. Et ce qui demandait à être vu était une autre ligne temporelle sur laquelle je suis sa fille. A cela s'ajoutait un signal d'alarme me disant "Attention danger, pervers sexuel !

 

Concernant le rôle de fille, toute une série d'indices était en train de s'agencer et ne pouvait laisser place au doute : avec sa fille actuelle, je partage de l'électroménager, la connexion internet, le jardin et maintenant, même sa voiture. Et à chaque fois que Robert me sollicitait pour résoudre une problématique liée à l'appartement qu'il occupait, je fulminais et lui disais qu'il pouvait contacter sa fille… Mais il était déjà en train de contacter sa fille, en l’occurrence moi !

 

Et pour ce qui est du pervers sexuel, également plusieurs éléments se sont mis bout à bout. Premièrement, il y avait son attitude déjà citée plus haut qui me donnait des nausées, puis pendant l'incident, d'autres indices sont venus parfaire le tableau. Lorsqu'il est revenu se coucher au milieu de la place, il était vêtu d'un tee-shirt et d'un simple caleçon. Je me demandais si c'était un effet d'optique ou bien si son sexe était réellement en érection… Camille m'a confirmée que c'était bien le cas. Objectivement, il n'y a aucun problème, cela peut être une réaction mécanique du corps après un stress, mais compte tenu du contexte qu'offraient les mémoires transdimensionnelles, ajouté au fait qu'il vienne s'allonger devant chez nous pour attirer notre attention et finir par être soigné par Camille, je ne pouvais que noter la particularité de la scène.

 

Lors de notre marche, je dis à Camille que le prédateur de Robert faisait tout son possible pour que les femmes convergent vers lui. Tout en étant surprise de ce lapsus révélateur, je compris que le langage symbolique des oisons, par "con-verge" me mettait une fois de plus la puce à l'oreille !

 

Voilà tous les détails qui me venaient à l'esprit lors de cette insomnie. Et mon mental finit par lâcher... mais juste au moment où j'étais en train de basculer dans le sommeil, une énergie sexuelle s'éveilla en moi. C'était quelque chose de plutôt incongru étant donné ma faible libido de ces derniers temps. Plutôt soulagée de sentir mes parties génitales vivantes, je contribuais à les rendre encore plus vivantes… Je n'étais mentalement plus connectée aux évènements de la journée, mais lorsque le point culminant approcha, toute mon attention se porta vers Robert au point où j'entendais son nom dans ma tête… Ma réaction fut encore une fois "beurk, beurk, beurk !" J'eus l'impression de m'être fait abuser énergétiquement ! Et en plus, une partie de moi y consentait !!!

 

Mais en sortant de l'emprise émotionnelle, cet évènement fut une piste qui vint confirmer une impression à peine consciente. Je sentais bien que cet aspect sexuel dépassait la "simple" mémoire de viol d'un père sur sa fille. Il touchait aux abus rituels…

 

C'est en faisant le lien avec les mémoires qui surgirent de l'autre côté de la montagne quelques années auparavant (cf. chapitre VII – quand le sceau de l'inquisition devient un outil de déprogrammation) avec Dolph, que j'eus les indications nécessaires. Il existait effectivement de nombreuses similarités entre Dolph et Robert : il s'agissait d'hommes grands, barbus, ayant un attrait pour le druidisme, avec une approche thérapeutique/spirituelle spécialisée dans la "guérison" d'ordre sexuelle de la gente féminine ! Tous deux organisent des séances de groupe et appâtent leurs proies avec leur aura de maître bien pensant, ainsi qu'avec leur musique. Ils possèdent également un camping-car – qui fut d'ailleurs le centre du dénouement – et vivent dans une situation précaire, toujours dans la crainte de possibles sanctions de leurs supérieurs hiérarchiques.

 

Cette fois-ci, grâce à cette similitude frappante, il m'était donné de voir l'ensemble du tableau pour ne pas m'éterniser dans cette mémoire qui venait à nouveau toquer à ma porte. Mais surtout, mon Soi supérieur me poussait à visiter la strate encore plus profonde que je ne fus pas en mesure de conscientiser à l'époque.

 

 

J'étais mûre…

Et comme à maintes reprises j'avais lancé un appel intérieur à mes autres moi pour m'aiguiller vers la raison de ces multiples mémoires de violences sexuelles resurgissant à travers mes cellules, j'étais à présent servie : Le livre d'Alexandre Lebreton est le plus gros cadeau qui fut posé sur mon chemin (d'ailleurs tous les extraits qui suivent son tirés de son livre, sauf si je mentionne une autre source). Ces informations sur le Mind Control mêlées aux rituels sataniques avaient amplifié la force de ma quête intérieure et mon envie de me confronter à cette réalité. Celle-ci agissait comme un filet retenant prisonnier au fin fond de mon âme ces autres moi qui demandaient à être libérés de la prison mentale et émotionnelle.

Plus je tendais l'oreille, plus leur cris de détresse me parvenaient depuis l'autre côté du mur amnésique. Et plus je percevais ces cris (par exemple ceux de l'esclave sexuelle), plus ma force intérieure grandissait et me propulsait à déterrer les secrets qui maintenaient prisonnières ces fractales d'âme.

 

D'autres cadeaux me furent offerts afin de me remémorer les mots de passe permettant de déverrouiller certains programmes : un partage avec Annabelle à propos "des voix de prédateurs dans sa tête" (dont voici un témoignage/question) me mirent face à la réalité de la programmation via les rituels sataniques. Ces expériences qu'elle expérimentait dans cette vie-ci raisonnaient si fort en moi qu'elles déclenchèrent à nouveau une série de compréhensions, notamment à propos de l'amplification des évènements traumatiques grâce aux interférences spatio-temporelles.

 

La clôture de "l'aventure David" s'accompagnant de l'activation de "l'aventure Robert" était aussi un cadeau que ma Supraconscience plaçait sur mon chemin en ce moment charnière. De même, la lucidité qui se dégageait de ces déverrouillages de programmes me permettait enfin d'élever mon niveau d'observation concernant tous les types de communautés dans lesquelles j'ai vécu depuis mon adolescence et d'identifier le fil conducteur, celui des "mémoires d'abus rituels". Je détaille cela par la suite.

 

L'abus rituel, vieux comme le monde, est un procédé extrêmement efficace pour permettre aux magiciens de 4ème densité de s'introduire dans la psyché d'un humain. Celle-ci est préalablement anéantie et dissociée afin d'y installer divers programmes qu'ils actionnent afin que leurs robots au sein de la Matrice accomplissent leurs directives : un attentat par ci, un viol par là… Toute cette panoplie de programmations psychiques permet l'enracinement astucieux du monopôle du Nouvel Ordre Mondial au service du dieu Gina'Abul.

 

Et le viol s'avère être le moyen le plus efficace pour induire un état dissociatif, c'est la création de la page blanche pour y inscrire les nouvelles données mais aussi la création d'un pont pour accéder au monde des dieux SDS :

 

"Selon Bill Schnoebelen, la magie sexuelle pratiquée sur les enfants serait donc la clé pour accéder à d'autres dimensions et pour obtenir de la puissance. Un enfant torturé et violé lors d'abus rituels sataniques se retrouve en état de dissociation, c'est-à-dire qu'il devient lui-même une porte ouverte vers d'autres dimensions." Alexandre Lebreton, MK Abus Rituels et Control Mental, p. 105

 

Le viol est donc un outil très profitable à l'instauration de la suprématie reptilienne, d'autant plus que d'après de récentes études une relation sexuelle laisse à vie, dans le corps de la femme, l'empreinte génétique de l'homme. Donc effectivement cette "technique" est précieuse car elle permet de préparer génétiquement le terrain afin qu'une entité SDS puisse prendre possession d'un corps.

 

Les sectes sataniques transgénérationnelles transmettent, par le viol ritualisé, ce formatage démoniaque à leurs enfants et lâchent dans la nature de véritables monstres destinés, depuis leurs postes hauts placés, à graisser les rouages du système SDS. On retrouve cette logique programmatrice à toutes les échelles, y compris en notre for intérieur ! Et c'est le rôle que tient (en actionnant nos programmes de bourreau ou de victime) notre cher prédateur attitré. Nous expérimentons tous ces deux polarités puisque dans la logique hiérarchique SDS, l'individu réduit à l'état de victime développe automatiquement son potentiel de bourreau. De même, un bourreau à forcément été, et est encore une victime.

 

S'il m'arrive de sentir la face bourreau de la médaille, c'est pour l'instant celle de la victime qui demande toute mon attention car elle se débat comme une furie. Et grâce à la lecture du livre MK, je constate que la programmation d'esclave sexuelle était loin d'être un mythe :

 

"Une étude internationale concernant les abus rituel et le contrôle mental a été conduite par des chercheurs allemands et américains […] L'étude comporte également une partie consacrée aux survivants, voici quelques résultats sur un échantillon de 1000 personnes à avoir répondu au questionnaire : […] 41 % rapportent avoir été programmés comme esclave sexuel." p. 195

 

Cet outil de programmation est très prisé car il est d'une efficacité insoupçonnée. Voici ce qu'en dit l'auteur du traité pratique de magie sexuelle (magie à laquelle de nombreuses sociétés secrètes sont initiées) :

 

"La magie sexuelle peut donc être considérée comme une base de pratiques rituelles applicable à très haut niveau, par des gens entraînés (et responsables), et constituant un des grands instrument de pouvoir, sinon le plus puissant (…) La magie sexuelle est donc une pratique essentiellement basée sur une utilisation de l'énergie vitale, laquelle devra être domestiquée, filtrée, captée, accumulée, développée, potentialisée puis canalisée dans le cadre du rituel." p.95

 

 

La face cachée de Merlin l'Enchanteur

 

C'est également dans ce contexte de quête d'information sur les abus rituels que se dévoilait la face cachée de Merlin l'Enchanteur ! Autrement dit, celle que l'on ne nous présente pas dans les contes de fées… Elle correspond au versant SDS de la ligne temporelle druidique que je reconnue à la fois chez Dolph et chez Robert.

 

Avant d'avoir les confirmations que j'évoque par la suite, je ne comprenais pas cette intuition, car pour moi, tous les Druides et les Celtes étaient des êtres baignant dans une harmonie parfaite avec la nature… En accédant ainsi à l'énergie nucléaire faible et aux mystères de l'univers, j'étais certaine qu'ils ne pouvaient qu’œuvrer pour l'évolution de la Conscience par une démarche au Service d'autrui.

Voilà une démonstration de l'importance de la recherche d'information. Dans ce cas-là, l'aspect intellectuel venait confirmer mes ressentis auxquels je prêtais auparavant peu d'attention. C'était ma programmation "fleur bleue" qui m'empêchait d'avoir confiance en ces intuitions… car j'appris que dans tous les peuples qui nous sont présentés comme des modèles de sagesse (Amérindiens, Bouddhistes, Gnostiques, Mayas, Celtes, etc.) une polarité SDS est manifestement bien présente et très active. Et tout comme de nombreuses autres religions à Mystères, certaines branches druidiques ont assuré la perpétuation de la programmation satanique.

 

 

Ce fut Laura Knight et les Cassiopéens qui commencèrent à m'ouvrir les yeux par ce texte abordant le pourquoi d'une génétique Aryenne (donc Celte) si convoitée :

 

" Question (Laura) : Et qu'en est-il des peuples sémites et méditerranéens ?

 

Réponse : A chaque "implantation" d'une nouvelle peuplade, celle-ci a été créée de manière à être bien adaptée à l'environnement où elle devait être "semée". Les Aryens sont la seule exception, car ils ont été amenés sur terre en urgence.[…]

 

Q : Alors, quels étaient les objectifs des forces SDS qui contrôlaient Hitler et qui lui faisaient désirer l'extermination de tout un groupe de gens ?

 

R : Créer un "terrain de reproduction" adéquat pour la réintroduction de Nephalim, dans le but de prendre le contrôle total de la Terre de 3ème densité avant son élévation en 4ème densité, où une telle conquête est plus difficile et aléatoire !

 

Q : Vous voulez dire un "terrain de reproduction" dans le sens de reproduction génétique ?

 

R : Oui. De troisième densité. […]

 

Q : (L) Et ils allaient se servir de ça comme base pour introduire un nouveau mélange de Nephilim… (RC) Et le Nouvel Ordre Mondial… enfin, leur version. (L) Mais pour en revenir aux Celtes : manifestement, si les Lézards pensaient que les Aryens/Celtes constituaient un bon "terrain de reproduction", c'est sûrement parce qu'il y avait en eux quelque chose de génétiquement inhérent qui les rendait désirables dans ce sens. Est-ce exact ?

 

R : Non, pas dans le sens où tu l'entends. Nous te suggérons de reformuler cette question après avoir réfléchi profondément aux implications.[…]

 

Q : J'ai réfléchi à la question que j'ai posée lors de la dernière séance, et je voudrais la formuler de cette manière : vous avez dit que Hitler avait reçu d'êtres d'une densité supérieure des instructions pour créer une Race supérieure. Pourquoi les types génétiques aryens étaient-ils considérés comme plus souhaitables pour la création de cette race supérieure germanique ?

 

R : A la fois similitude et lien ancestral le plus intact avec le cheptel d'Orion de 3ème et 4ème densité.

 

Q : Alors, à la base, ils essayaient de créer un groupe de gens semblables à eux ?

 

R : Oui.

 

Q : Mais je ne comprends pas exactement pourquoi ils ont dû  faire appel à un malade comme Hitler pour exécuter ce projet et lui faire éliminer la souche indésirable...

 

R : Ce n'est pas le sujet. Comment envisagerais-tu la création ?

 

Q : Bon. Ils préparaient ce terrain de reproduction, comme vous dites.

Manifestement, c'était pour introduire une autre souche génétique.

Laquelle ?

 

R : Nephalim.

 

Q : Mais si les Nephilim arrivent sur des vaisseaux, 36 millions d'entre eux, pourquoi prendre la peine de créer des "sang-mêlés" ici ?

 

R : Oui, mais avoir une "avant-garde" facilite grandement la conquête en 3ème densité.

 

Q : Alors cette race supérieure était censée tout préparer…

 

R : Oui."

 

L. Kight, l'Onde tome IV, p.263 à 266

 

 

J'avais maintenant les informations qui confirmaient mes ressentis. Dolph et Robert sont des programmateurs qui avaient pour rôle de modifier ma génétique pour favoriser l'intrusion d'entités SDS en 3ème densité en cette fin de cycle. Cependant, depuis plusieurs existences, mon âme œuvre à sa déprogrammation. C'est pour cette raison que je n'ai pas à expérimenter physiquement dans cette vie-ci le rôle d'esclave sexuelle, mais par contre je dois finir de me libérer de ces boulets énergétiques.

 

Puis, par la lecture d'autres articles, la face cachée du druidisme continuait de se révéler. En voici quelques extraits :

 

"Winston Churchill était un membre occultiste, officiellement et formellement intronisé Druide (The Ancien Order of Druids AOD "l'ordre ancien des druides"). N'ayons pas peur des mots ici : le druidisme n'est rien d'autre mais à peine voilé que du satanisme. […] Il est un descendant direct de la version cananéenne du culte-Satan, ils pratiquaient des sacrifices humains au dieu "Moloch". […] Moloch est dans la tradition biblique le nom du dieu auquel les Ammonites, une ethnie cananéenne, sacrifiaient leurs premiers-nés en les jetant dans un brasier." https://ordo-ab-chao.fr/symbolisme-satanique-occulte-signe-v/

 

"Toute magie est tirée de notre cerveau droit : La rêverie du poète, la crise du fou, les rêves des architectes. Les magiciens recherchent le dérangement de l'esprit. Par le jeûne, par le fouet, par la drogue, par la violation des tabous avec des actes sexuels, ou par la violence d'une certaine sorte.[…]

Les druides croyaient que les lieux gagnaient en puissance par la souffrance, qu'ils absorbaient le désespoir et la terreur et que ceux-ci se réverbéraient dans la terre et les pierres pour toujours. Cette tour [la Tour de Londres] doit vibrer comme une dynamo de sang et d'histoire...[…]

La magie n'est que la volonté humaine concentrée à travers une méthodologie qui inclut un rituel, des prières et un sacrifice. Dans les églises druidiques, tout le mortier est mélangé à du sang, ce qui confère aux pierres la vitalité de faire leur travail." Alan Moore http://www.9emeart.fr/communaute/blog-post/news/comics/visiter-londres-avec-alan-moore-ma-presentation-de-from-hell-4239

 

Par la suite, je découvris d'autres détails importants que la lecture d'Alexandre Lebreton me dévoila concernant les "mystères" druidiques :

 

"On appelle “religion à Mystères“ les cultes comportant des révélations et des rites dont la connaissance et la pratique sont réservées à un petit nombre d'initiés. […] Brunet nous explique que les épreuves des anciens cultes à Mystères visaient à produire des état altérés de conscience, une expérience mystique avec un état d'extase et d'union avec le divin. Les méthodes impliquaient l'exploitation de la douleur, de la peur, de l'humiliation et de l'épuisement.

[…]

D'une manière similaire, Burke a déclaré que la terreur avait la capacité d'entrainer des réactions qui mettent l'individu dans un état particulier, “cet état d'esprit dans lequel tout est suspendu”, produisant ainsi ”l'effet du Sublime à son plus haut niveau” (…) ”pour rendre les choses terrifiantes”, dit-il, ”l'obscurité semble généralement être nécessaire” (…) Dans l'initiation Druidique, les candidats sont enfermés dans des grottes, ils doivent ramper dans de longs tunnels ou bien sont enfermés dans des coffres ou des cercueils pendant plusieurs jours pour en ressortir ”nés de nouveau”. Ces pratiques initiatiques étaient connues comme le ”feu mystique”, et la sortie de ces épreuves de tortures était parfois exprimée avec le terme de ”flamboiement de lumière” (…) Comme le note Ross Nichols, les magiciens Druides ”plongeaient ou cuisaient l'enfant dans le feu mystique”, un euphémisme signifiant qu'à l'époque pré-Chrétienne, l'enfant était parfois soumis à ces épreuves initiatiques." p.56 et 57

 

Je voyais parfaitement dans le rôle de l'initiateur, le Maître psychologue-philosophe "Robert le tout puissant" qui initiait femmes et enfants au feu mystique.

Même si cela est dit crûment, je sais que je fus sa fille et à la fois son esclave sexuelle sur lequel il exerçait sa "magie" program-matrice. Évidemment, comme je le précise en amont, mon âme a cheminé car elle n'est plus réduite physiquement à l'état de poupée-robot, mais ce qu'il se passa la nuit après l'accident avec le camping-car fut la démonstration que, sur un plan non plus physique mais énergétique, son prédateur avait toujours une emprise sur moi. Cela signifie que mon alter "esclave sexuel" créé à cette période druidique subsistait et continuait à obéir à ce programme.

 

 

Revivre et "étudier" la mémoire pour s'en libérer

 

La journée de cette conscientisation fut remplie de dégoût, de colère et de désir de vengeance. A chaque fois que je l'entendais marcher au dessus de ma tête – puisqu'il s'était empressé de revenir de l'hôpital pour me tenir compagnie – ou qu'il passait sur la place, je voyais le prédateur dans toute sa splendeur. Mes poils se hérissaient et mes boyaux se tordaient. Même, si je n'avais pas accès visuellement à la 4D, je captais sans problème le Dracos sous son déguisement !

 

Pour vous faire une idée un peu plus concrète de ce qu'est une programmation résultant de traumatismes répétés accompagnés de leurs troubles dissociatifs, en voici une présentation, suivie d'un témoignage très intéressant :

 

"La connaissance de ces troubles psychotromatiques permet en effet de saisir que l'esprit humain peut se fractionner en plusieurs identités indépendantes les unes des autres, séparées, cloisonnées, par des murs amnésiques. Nous pouvons ainsi comprendre que l'esprit d'un individu est potentiellement programmable tel un ordinateur avec des fichiers et des codes d'accès. Ce phénomène de fracturation de la personnalité est la pierre angulaire des abus rituels car il "déverrouille" la psyché qui devient alors accessible pour y intégrer une programmation.

L'horreur et la peur vécues par un enfant abusé rituellement fait que son cerveau va réagir par divers degrés de dissociation proportionnels à la gravité et à la répétition des expériences traumatiques. C'est un mécanisme de défense naturel face à une terreur psychique intense et à une douleur physique extrême. La plupart des enfants qui ont été abusés ainsi durant la petite enfance se dissocieront totalement des évènements vécus et seront souvent incapables de se rappeler consciemment ce qu'il s'est passé. La dissociation peut aller jusqu'à l'éclatement de la personnalité en de multiples alter, ce qui est le stade le plus extrême, celui recherché par les bourreaux qui visent à établir un contrôle mental sur la victime. p.265

 

 

 

Extrait d'un témoignage de Régina Louf :

 

"Ce livre a commencé à prendre forme en juillet 1988, lorsque pour la première fois j'ai posé par écrit mes mémoires et mes cauchemars dans un carnet. J'ai alors découvert que j'avais différents styles d'écritures, et chaque type d'écriture était une partie bien distincte de "moi". […] A Knokke, chez ma grand-mère, les adultes s'étaient rendus compte que je parlais avec les voix dans ma tête, que je changeais rapidement d'humeur, ou même que je parlais parfois avec une autre voix ou avec un autre accent. Bien que je n'ai que 5 ou 6 ans, je compris que ces choses-là étaient bizarres et que ce n'était pas permis. J'ai donc appris à cacher mes voix intérieures, mes autres "moi". Après ce qui est arrivé à Clo, ce sentiment bizarre que j'étais parfois dirigée par ces voix intérieures devient plus fort. Après l'initiation, je ne résistais plus aux voix dans ma tête. J'étais heureuse de disparaître dans le néant, pour seulement reprendre conscience quand Tony était là. La douleur semblait ainsi plus supportable (…)

Tony était le seul adulte qui comprit que quelque chose n'allait pas dans ma tête. Cela ne le dérangea pas du tout, au contraire, il le cultivait… Il me donnait différents noms : "Pietemuis", "Meisje", "Hoer", "Bo". Les noms devinrent lentement une part de moi. La chose étrange était que s'il mentionnait un nom, la personnalité qui correspondait au nom était immédiatement appelée.

"Pietemuis"(petite souris) devint le nom de la petite fille qu'il ramenait à la maison après l'abus [dans le cadre de rituels sataniques] – une petite fille effrayée et nerveuse qu'il pouvait réconforter en lui parlant d'une façon bienveillante et paternelle.

"Meisje" (fille) était le nom de la partie de moi qui lui appartenait exclusivement. S'il m'abusait dans mon lit tôt le matin, par exemple, ou s'il n'y avait personne autour de nous.

"Hoer" (pute), était le nom de la partie de moi qui travaillait pour lui.

"Bo" était la jeune femme qui s'occupait de lui s'il était saoul et avait besoin qu'on veille sur lui.

”Maintenant tu me laisse m'occuper de ça”, disait-il quand je lui demandais avec curiosité pourquoi il me donnait tant de noms, il rajoutait : ”Papa Tony te connaît mieux que tu ne te connais toi-même”… Et c'était malheureusement vrai." p. 262

 

 

Voilà donc concrètement comment le bourreau peut agir en tant que programmateur afin de robotiser totalement un individu par la fractalisation de sa psyché. Cependant, grâce à notre spécialité "prédation hyperdimensionnelle", on peut observer ce phénomène en incluant les densités supérieures à la nôtre. Donc, on peut passer du langage clinique des psycho-traumatologues à un langage plus global incluant l'âme : le fractionnement de la psyché en personnalités alter devient donc un fractionnement de l'âme en fractales d'âme. Et le but de la prédation est de maintenir autant que possible le cloisonnement séparant ces fractales d'âmes, tout comme le mur amnésique séparant les personnalités alter. Diviser pour mieux régner se répète d'étage en étage ! C'est par ce biais qu'est créée une nouvelle identité, qui elle-même permet à une nouvelle entité de posséder la chaire, donc de s'incarner.

Voici ce que Alexandre Lebreton explique concernant ce phénomène :

 

"Les démons sont attirés par la souffrance, la douleur et la terreur qui provoquent l'impuissance de la victime totalement soumise aux bourreaux… mais aussi aux esprits. Ce type d'émotions extrêmes est une force d'attraction et d'alimentation pour les esprits déchus, d'autant plus si le sang coule. Les victimes profondément dissociées deviennent alors de véritables réceptacles pour ces entités attirées par les protocoles de magie et les incantations qui accompagnent le rituel. De plus, ces cérémonies sont souvent pratiquées dans des sites aux énergies telluriques particulières facilitant les interactions entre différentes dimensions. Tout comme un vase fêlé qui laisse passer la lumière, le fractionnement va laisser passer certaines entités qui vont se mêler aux brisures de la personnalité que sont les fragments d'âme […] " p.355

 

De plus, comme en prenait conscience Sand dans les vidéos à venir avec Nina à St Just, les abus rituels visant à créer ces fragmentations, permettent la "descente" de plusieurs entités SDS au sein d'un même corps physique. Une aubaine pour les âmes qui se pressent au portillon en cette fin des temps convoitée. Cela représente une occasion SDA de rédemption tout comme une occasion SDS de pousser plus loin le degré d'inhumanité sur terre en renforçant la suprématie des magiciens de 4D.

 

"L'objectif global de ce processus est de programmer la victime pour qu'elle devienne totalement impuissante, ce sont les contrôleurs qui deviennent alors tout-puissant, ils sont comme des ”dieux”." p.54

 

Je traversais donc une phase de dégoût et de colère envers le programmateur interdimensionnel qui utilisait Robert ainsi qu'envers Robert lui-même. J'étais dans cette phase du processus qui devait passer par la réaction. La remontée à la conscience d'une telle mémoire ne peut aller sans son lot émotionnel… Mais une fois intégré, celui-ci permet l'annulation des réponses aveugles à la télécommande du magicien. Cette vieille programmation, toujours active dans mon champ d'énergie, envoyait des signaux et attirait dans ma bulle de perception les personnes et les situations en résonance avec ses signaux. Pas étonnant que dans cette vie-ci, le viol soit si présent dans mes mémoires cellulaires, j'ai dû l'attirer un bon nombre de fois dans mes vies précédentes ou parallèles !

D'ailleurs il n'est pas étonnant non plus que mes peurs du noir se soient exacerbées ces derniers temps. Quand on regarde le contexte karmique satanique que je traverse, l'obscurité faisant remonter la terreur est finalement très logique : pour rendre les choses terrifiantes”, dit-il, “l'obscurité semble généralement être nécessaire”.

 

Cette existence est bien celle du bouquet final, donc de la révélation par l'apocalypse de ce qui est caché, de la mise en lumière des parties jusqu'à présent inconnues de l'humain que je suis, avec lesquelles jouent en toute impunité les êtres "qui marchent au dessus de ma tête" !

 

Le vécu constructif de cette apocalypse intérieure tend à les priver de leur marionnette nutritive car "diviser pour mieux régner" ne s'appliquera bientôt plus. Tous mes alter psychiques, au même titre que mes fractales d'âmes sont en train de se rassembler pour ne faire qu'un, comme plusieurs cellules formant un même organisme.

 

Cette recherche frénétique de l'extase par la terreur, l'anéantissement psychique et la douleur physique, pour aboutir au flamboiement de lumière dissociatif, est la technique diffusée par les Maîtres SDS de 4D pour hisser à leur niveau une âme parfaitement cuisinée et prête à être totalement possédée. Ceci est l'initiation SDS ultime. Elle correspond pour l'humain endoctriné par les cultes sataniques à l'accès à l'immortalité et au royaume des dieux !

 

Dans mon cheminement, je vis aussi de profonds dépouillements et des nuits noires de l'âme, mais à la grande différence qu'il ne s'agit plus des conséquences d'un rituel. J'ai pu effectivement, dans mon passé, expérimenter de nombreuses fois cette manière SDS de procéder en provoquant les situations afin de "booster" mon évolution terrestre (en programmant une retraite chamanique par exemple).

 

Quant à elles, les initiations SDA sont celles qui surviennent de manière totalement imprévues, c'est à dire hors de tout contrôle de l'humain qui VEUT évoluer. Et quand justement, on travaille à lâcher ce contrôle – celui du prédateur de 4D – et que l'on cesse toutes fuites quelles qu'elles soient dans le monde extérieur, alors les initiations deviennent extrêmement intenses et fréquentes. La ruse des entités de 4D se transforme même en outil pédagogique au service de notre Soi supérieur afin de développer un discernement vital.

 

L'expérimentation du "prédateur au camping-car" confirma ainsi ma progression en ce sens, car je fus capable de vivre cette situation d'urgence avec la conscience simultanée de l'enseignement qui émanait du Soi supérieur ainsi que de la strate SDS de 4ème densité qui actionnait les programmes des marionnettes. Ces passages initiatiques douloureux s'accompagnent donc maintenant d'un feu qui réunit et non d'un feu qui divise. L'enseignement que délivre la prédation est utilisé au profit du renforcement de la Conscience créatrice au Service d'autrui. Tout comme cet homme qui fut secoué par Lucifer su tirer profit du traumatisme afin d'ouvrir les yeux et réorienter sa vie :

 

 

Cette Conscience créatrice ou Soi supérieur, à travers mon champ d'énergie, avait permis la manifestation des personnes et situations idéales afin de créer les meilleures conditions d'apprentissage.

Par exemple, lorsque Camille – une de mes fractales qui s'exprimait dans ma bulle de perception – me dit qu'elle se sentait frustrée du fait que son cerveau ne comprenne pas tout ce que nous échangions à propos du monde de la prédation, elle représentait bien une partie de moi qui était limitée dans sa compréhension et avait besoin d'expérimenter afin de conscientiser une strate plus profonde.

C'est alors que la Conscience créatrice répondit à ma vibration afin de m'offrir l'opportunité de conscientiser le programme limitant. Elle me proposa ainsi l'expérimentation dont j'avais besoin et fit "apparaître" un Robert possédé !

 

Tout cela provoqua alors une réaction en chaîne : j'ouvrais enfin les yeux sur ce programme à modifier, l'emprise émotionnelle cessait, le message du changement d'information descendait à travers mes cellules jusque dans mon ADN, l'épigénétique s'enclenchait, mon âme réceptionnait à son tour la modification karmique…

 

Puis en sens inverse, la remontée d'une nouvelle information karmique se répercutait à travers ma génétique pour finalement arriver jusqu'à sa manifestation matérielle dans ma bulle de perception.

 

Une autre réalité qui accompagnait la clôture d'un grand cycle de ma vie était en train de prendre forme. Je m'en rendis compte grâce à différentes manifestations symboliques :

Lorsque je déposai Camille au train, l'achèvement d'une mission commune fut marquée. Je ressentis ce que j'avais déjà perçu lors d'une épreuve avec David où elle fut présente : l'âme de ma mère était sur une autre ligne temporelle celle d'une alliée Amasutum venue me prêter main forte pour "affronter" la tyrannie "Gina'Abulesque"!

 

Au moment où je revins à la voiture (de la fille de Robert) et mis la clé dans la serrure pour ouvrir mon unique porte, après trois semaines de panne électronique, les trois autres portes se débloquèrent et s'ouvrirent ! Je pus donc annuler le rendez-vous du lendemain matin chez un électronicien auto qui m'avait annoncé que la réparation risquait d'être très onéreuse. Je venais de faire moi-même, à l'aide d'une fractale Amasutum, la réparation de mes programmes qui se répercutaient sur mon environnement matériel. Celui-ci m'indiquait aussi que la fuite d'énergie sous forme d'argent concernant ce chemin de vie en tant que "fille programmée de Robert" s'était colmatée. La voiture de sa fille fut d'ailleurs réquisitionnée par des amis à elle et sortie de ma bulle de perception…

 

Cette même journée fut aussi celle où le yogi-informaticien du village – après avoir supprimé toutes les anciennes données et leurs modes d'exploitations – m'installa les nouveaux programmes nécessaires aux travaux qui m'attendaient. Je suivais chacune des ces greffes informatiques avec grand intérêt, et grâce à mon investissement dans ces travaux technologiques, j'eus l'impression d'accéder plus profondément à une logique auparavant inconnue et rejetée, voir haïe : celle des Reptiliens et des Gris…

 

 

Communautés philanthropes ou nids reptiliens ?

 

J'étais amenée à élargir toujours plus ma vision : ce Robert que mon Soi supérieur faisait s'agiter dans ma bulle, n'est comme nous l'avons vu plus haut, qu'un symbole véhiculant l'énergie d'une entité reptilienne de haut rang. L'humain Robert est lui-même manipulé et manipule à son tour des êtres au potentiel SDA naturellement développé, donc les femmes et les enfants.

 

David me racontait qu'un jour, il entra dans l'appartement de sa fille et assista à une scène caricaturale : Il y avait seulement des femmes avec leurs enfants et tous s'affairaient pour préparer un beau repas qu'ils étaient en train de disposer sur la table. Il y avait un seul homme, Robert qui était assis à cette table en train de diffuser ses enseignements et de gober huître sur huître… Durant son discours, il aborda la relation père fille et pris une fillette dans ses bras tout en expliquant aux mères ici présentes qu'il fallait autoriser les petites filles à exprimer le désir qu'elles ont pour leur père… Scène qu'il n'est pas nécessaire de commenter tellement la perversion du psychologue familial est flagrante !

 

Il est aisé de constater qu'à toutes les échelles – depuis l'individu programmé par des abus rituel jusqu'à la masse obéissant aux dogmes sociétaux – ce sont les êtres dominants (généralement les "mâles") qui sont les maillons forts ou les maîtres d'œuvre de la construction de la prison mentale. Femmes et enfants – individus dont la nature est la moins encline à exprimer la polarité du service de soi – sont les cibles favorites, pour à leur tour transmettre ces programmes.

 

En observant mon parcours, je me rends actuellement compte, que depuis mon adolescence, je n'ai fais que transiter d'un lieu communautaire à un autre. Et ces lieux étaient effectivement tous imbibés par une logique hiérarchique et oppressive du mâle reptilien.

 

J'ai donc vécu :

 

- 3 ans à Orion. Cette communauté d'influence mystique réunissait de nombreux adultes avec leurs enfants et proposait une école alternative (nous étions entre 6 et 10 enfants). Leur directeur, Michel, était quelqu'un de très mystérieux et quasi sur-humain par le nombre de domaines dans lesquels il excellait : psychologie et divers autres thérapies, chant, art culinaire, peinture, astrologie, art martiaux, équitation, relations humaines, ésotérisme, plus tout ce que j'ignore… Il était vénéré et craint.

 

- 1 an à Thélème. Cette école était spécialisée pour les enfant en rupture scolaire et de ce fait proposait un enseignement alternatif (il y avait environ 40 élèves). Le directeur qui rentrait dans le moule du "hippy utopiste mangeur de psyllos (champignons hallucinogènes)" s'appelait également Michel. L'établissement avait une source de revenu très intéressante : les enfants de la DDASS (Direction Départementale des Affaires Sanitaires et Sociales). Par exemple, nous savions que Salim (le dealer du collège) rapportait 800 Francs par jour ! Quand la DDASS décida de ne plus travailler avec Thélème, l'école ferma.

 

- 6 ans discontinus au Solitary. Ce petit centre équestre communautaire et sans un sous était géré par Didier, un homme au passé traumatique (avec un père psychologue…) qui en voulait à la terre entière. Nous étions plusieurs jeunes à bosser bénévolement comme des forcenés pour que Didier et ses chevaux puissent continuer à vivre. C'est en ce lieu que j'ai expérimenté la culpabilité à son plus haut degré (comme le fait de ne pas "assurer" dans le travail), manette que le prédateur de Didier savait actionner avec une grande dextérité ! C'est également au Solitary que j'acquis toute mes connaissances en programmation équine. Ce fut d'ailleurs très douloureux pour moi – qui croyais m'engager sur une voie non-violente avec les chevaux – de constater à quel point l'équitation (même éthologique) est basée sur les techniques de Mind Control que l'on retrouve dans les rituels sataniques...

 

- 2 ans Au Hogan. C'était à la fois un lieu de vie pour enfants et un centre équestre qui était géré par Olivier, éducateur spécialisé, ostéopathe équin, spécialiste du comportement du cheval et écrivain durant ses insomnies ! Il accueillait des enfants (souvent immigrés et demandeurs d'asile) et des chevaux en difficulté. J'aidais aux soins des chevaux et des enfants en échange des cours qu'il me donnait.

Avec mes connaissances actuelles, il est certain que plusieurs de ces adolescents avaient été victimes d'abus rituels… Olivier était aussi un homme très charismatique. Il humiliait sa compagne soumise et alcoolique. Mais ce n'est que quelques années plus tard que je pris conscience de l'envergure de son prédateur. Il nous invita, David et moi, à participer à un stage d'équithérapie qu'il proposait à un groupe. A la fin, il nous annonça le prix du stage (soudainement, son invitation n'était plus gratuite !) ce qui nous demanda de nous aligner sans sourciller face à ce gourou du monde équestre. Ce fut une résolution karmique importante et émotionnellement intense que David et moi résolvions cette fois-ci en alliant nos forces !

 

- Arrivée dans l'Aude je démarrais un "parcours d'inclusion" dans une communauté nommée Ecolectif se basant sur la communication non violente. Mais le déni et la psychose ambiante étaient si élevés, que même sans avoir connaissance de la réalité prédatrice j'abandonnais finalement l'idée d'y emménager. Petit détail rigolo : le relevé cadastral du terrain appartenant à ce collectif avait clairement la forme d'un dragon qui avait pondu ses œufs !

 

- Puis ce furent les quelques mois au Bézu –  communauté "amour et lumière" en construction et lieu de rencontre avec Sand et Jenaël – qui me permirent enfin d'ouvrir les yeux sur la réalité hyperdimensionnelle qui gouverne les humains. Je pus me rendre compte par moi-même à quel point des individus inconscients de leur propre parasitage reptilien et qui mettent tout en œuvre pour construire un monde meilleur par un mode de vie collectif, demeurent dans une illusion totale !

 

Tous ces lieux représentaient mes idéaux : ils étaient immergés dans la nature, les animaux (dont les chevaux) étaient très présents, l'accent était mis sur les relations humaines, il existait une dimension spirituelle et ésotérique et je pouvais généralement vivre dans des habitats légers (cabane, tipi, caravane, yourte)… mais ce fut aussi dans ces lieux que se déployaient les plus grands potentiels de prédation que je connus dans ma vie !

 

J'ai pu faire quelques liens à propos de mes deux écoles Orion et Thélème.

 

La communauté qui laissa le plus de traces dans mon subconscient fut celle d'Orion, car cela fait maintenant vingt ans, et le "maître de toutes ces femmes" revient régulièrement dans des rêves émotionnellement très intenses. Rien que le nom de la communauté donne une indication sur l'énergie qui l'habite. Effectivement la plupart des Gris et Reptiliens supervisant l'esclavage de l'humanité viennent de la constellation d'Orion. Et avec le recul que j'ai à présent sur ce que j'ai vécu au sein de ce collectif, tout coïncide avec une logique de service de soi managée par un Michel "sur-humain", donc un être lié aux entités SDS lui conférant une certaine magie (dont il usait sans aucun doute avec la gente féminine).

 


 

Ce jeux vidéo "Le maître d'Orion" est très parlant : le Gris organise les invasions et le Dracos a la main mise sur la femelle Urmah (l'énergie léonine) grâce à la "morsure d'amour" ou "love bite", mise en scène sur l'image par le clin d’œil à l'amour passionnel du film Titanic...

 

Puis, un jour, lorsque j'ai visionné le film "Partisan" avec Vincent Cassel, j'eus un choc. Des éléments, trop nombreux pour être de simples coïncidences, me renvoyaient au fonctionnement extrêmement patriarcal de la communauté d'Orion, et évidemment au cliché de Robert avec toutes ses femmes !

 

Voici quelques éléments similaires entre la communauté du film et celle d'Orion :

- Les femmes sont extirpées de la misère par un sauveur. Ce qui induit chez elles l'effet de Stockholm dont les symptômes se résument par le fait de tomber amoureux de son bourreau.

- Les enfants sont éduqués par le "sauveur".

- Les règles sont très strictes, avec aucun retour possible lorsque quelqu'un les enfreint.

- Le chef, par ses compétences multiples, connaît parfaitement l'humain et les sphères qui l'englobent.

- Comportement de soumission, voire même d'adoration vis-à-vis de ce dernier.

- Secrets à ne pas révéler : l'enfant est sévèrement repris s'il s'aventure sur ce terrain.

- Enseignement avec perspective créative, artistique et avec une ouverture ésotérique et spirituelle.

- Obligation de "s'aimer les uns les autres" tandis qu'une impression pesante d'évènements graves et de non-dits s'accentue.

- Sens de l'épreuve initiatique très présent et mis en application par des rituels à des âges spécifiques dans le but d'affronter ses peurs.

- Entretien de mystères notamment dans le cas de certains lieux interdits et secrets.

- Isolement psychique des individus, fort repli sur les croyances internes.

 

A l'époque du visionnage du film Partisan, je n'avais que de vagues notions sur le Mind Control, tandis que maintenant, alors que je me documente sérieusement sur le sujet, je suis ahurie par le constat que tous les points que je viens de soulever correspondent parfaitement aux ingrédients nécessaires à une programmation efficace.

 

Concernant l'école de Thélème, les indices de la prédation ne sont pas mal non plus, bien qu'agissant selon une autre modalité. Ce qui, d'un point de vue extérieur, pourrait paraître plus grave qu'à Orion, m'a bien moins impacté. Dans Wikipédia on trouve ceci :

 

"Bien que le mouvement thélémite moderne fasse remonter ses origines aux œuvres de François Rabelais et de Aleister Crowley, ce dernier faisait remarquer l'importance de l'utilisation plus ancienne de ce terme. Le mot [Thelema] est de quelque importance dans le Nouveau Testament où il se réfère à la volonté divine, à la volonté humaine du Mystique ou du Magicien en tant que Prêtre des Mystères."

 

Quand on connaît la signification de "cultes à Mystères", comme le détaille A. Lebreton, on est loin de l'école innocente pour bisounours : les épreuves des anciens cultes à Mystères visaient à produire des état altérés de conscience, une expérience mystique avec un état d'extase et d'union avec le divin. Les méthodes impliquaient l'exploitation de la douleur, de la peur, de l'humiliation et de l'épuisement.

 

"Thelema met l'accent sur la liberté individuelle équilibrée par la responsabilité et la discipline. Crowley a écrit deux documents afin de codifier ce concept : le Liber Oz et Devoir.

Le Liber Oz établit les droits de l'individu. Pour chaque personne, ceux-ci comprennent : vivre selon sa propre loi, vivre selon la manière que l'on désire, travailler, jouer et se reposer comme et quand on le veut, mourir quand et comme on le veut, manger et boire ce que l'on veut, vivre où l'on veut, parler, écrire, se vêtir, aimer, peindre comme on le veut. Le Liber Oz ajoute le droit de tuer ceux qui s'opposent à la volonté et à la liberté. Il n'est pas clair s'il s'agit ici d'une métaphore ou non.

[…] ce fameux « Fais ce que Voudras » qui est gravé sur le fronton de l'« Abbaye de Thélème » de Rabelais, auteur avec lequel il [Aleister Crowley] partage une sensualité grivoise, un penchant pour l'alchimie et une certaine religiosité."

 

 

Il faut savoir que la phrase emblématique de Thélème, Fais ce que Voudras, est d'une grande importance pour de nombreuses sociétés secrètes pratiquant les abus rituels. Elle est la formule magique justifiant les pires de leurs actes. Actes valorisés dans le but d'inverser totalement la voie Christique et parvenir au royaume de Satan.

 

François Rabelais était en quelque sorte le pionnier du New Age de la Renaissance, qui prenait le contre-pied des dogmes religieux tout en en instaurant un nouveau : celui de vivre toujours heureux ! Et dans ce dogme, on retrouve aussi la "possession amoureuse" ou de la "face obscure de Cupidon".

 

De même voici que les Cagots sont cités comme gens indésirables... Certainement, détenaient-ils une connaissance qui allait à l'encontre de l'idéologie élitiste de l'Abbaye de Thélème :

 

Sur la grande porte de Thélème, une inscription en interdit l'entrée aux ”hypocrites, bigots, cagots”, gens de justice et usuriers ; seuls sont admis les ”nobles chevaliers”, ”les dames de haut parage, fleurs de beauté, à céleste visage, à maintien prude et sage”."http://lechatsurmonepaule.over-blog.fr/2014/09/francois-rabelais-gargantua-l-abbaye-de-theleme.html

 

Voici d'avantage de précisions sur le fervent adorateur de Rabelais, Aleister Crowley :

 

"… il faut savoir que dans la kabbale anglaise, hébraïque et grecque, l'addition des lettres composants « Aleister Crowley » [nom qu'il choisit lui-même] donne le nombre de la Bête : 666.[…]

Initié au sein de la Golden Dawn, il s'en détache rapidement pour poursuivre sa propre voie ésotérique, fondée sur une « magie sexuelle » sans tabou.[…] il s'initie à l'Hatha yoga et part en voyage en Asie […] Il se rapproche de l'Ordo Templi Orientis de Theodor Reuss (en), une société ésotérique allemande qui pratique sa propre « magie sexuelle ». Aleister Crowley devient le maître de la branche britannique de cet ordre […]

le Livre de la Loi (Liber AL vel Legis sub figura CCXX), constitue la base de son système philosophico-religieux nommé : « La Loi de Thelema »."

https://fr.wikipedia.org/wiki/Aleister_Crowley 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Thelema

 

Donc pour être clair, l'école de Thélème dans laquelle je fus en partie éduquée, peut être vue soit sous l'angle New Age et humaniste de Rabelais, qui postule qu'une société sans contraintes ni conflits est possible dès lors qu'on laisse s'exprimer la nature foncièrement bonne de l'humain, et c'est certainement ce que souhaitait Michel… Soit sous l'angle démoniaque de Crowley qui juge nécessaire pour l'élévation de l'humain de déclencher des états modifiés de conscience par les abus rituels ou des drogues. Mais finalement ce ne sont que les deux côtés d'une même pièce (SDS+ et SDS-), qui obéissent à Loi de Thelema.

 

Car c'est exactement ce que j'expérimentais : je faisais ce qu'il me plaisais ! Après Orion avec son éducation stricte et disciplinaire, j’atterrissais à Thélème qui autorisait une débauche dont résultait un bazar pas possible ! A 14 ans, je sortais à point d'heure dans des rues mal famées, je découvrais de nombreuses drogues dont j'usais et abusais, fréquentais plusieurs adolescents sans foi ni loi, volais dans les magasins, séchais régulièrement les cours et me retrouvais confrontée à une sexualité que je ne comprenais pas…

 

D'ailleurs, une des chansons de Marilyn Manson (qui me fascinait et même m'hypnotisait à l'époque) fait référence à l'abbaye de Thélème : "We gonna ride to the abbay of Thelema".

Si vous ne connaissez pas Marilyn Manson, vous découvrirez dans ce clip quel pur produit de la scène satanique il est !

 

 

Il n'est pas rare que devant des milliers de personnes cet homme féminisé se mutile, et il lui est même arrivé de sacrifier des poussins sur scène… un vrai rituel en live !

C'est donc un petit aperçu de la réalité que je nourrissais dans le cadre de Thélème…

 

Toutes ces pistes concernant Orion et Thélème rejoignent ce que nous soulevions dans la 2ème vidéo de la rencontre à Vicdessos concernant le danger de l'éducation des enfants, même si celle-ci prend forme dans un cadre scolaire soi-disant alternatif et opposé aux doctrines imposées par le système classique. Danger qui devint pour moi très constructif grâce à ma découverte de la vérité concernant la réalité prédatrice de notre monde.

 

C'est comme si ma guidance m'avait baladée d'un lieu de programmation à un autre afin que je vive l'expérience pour me remémorer ce par quoi mon âme est passée, puis en prendre acte et me déprogrammer.

 

Au final, ce qui est important dans ce jeu de piste pédagogique de camping-car/Mind Control/perversité sexuelle/Communautés, c'est que je fus vigilante à ne pas rester focalisée uniquement sur l'existence d'une manipulation depuis la 3D. Cela n'empêche pas qu'elle soit bien réelle, mais la véritable clé qui permet à l'humain de s'extraire de ce labyrinthe matriciel est l'élargissement de ses observations et prises de conscience à la sphère invisible qui chapeaute ce labyrinthe. Car, que ce soit les labos du MK Ultra remplis de blouses blanches ou bien les rituels franc-maçonniques lucifériens avec leurs hommes encapuchonnés, ces réalités ne sont qu'une strate de la réalité SDS ayant pour origine la 4ème densité depuis laquelle opèrent des êtres humanoïdes/reptiliens marchant au dessus de nos têtes !

 

C'est pour cette raison qu'étudier la manière dont un technicien du Mind Control ou prêtre satanique agit sur ses cobayes, s'avère très instructif pour comprendre comment les Maîtres Reptiliens agissent sur et à travers l'humanité ou plus intimement comment notre propre prédateur active nos programmes personnels. Ce système se répercute donc à toutes les échelles :

 

"Pour soumettre et manipuler efficacement un individu, une méthode consiste à appliquer les trois D ou DDD, des lettres qui signifient "Debility, Dependance, Dread" (Débilité, Dépendance, Terreur). […] Vous remarquerez que ce protocole de contrôle mental individuel "DDD" est aujourd'hui appliqué à grande échelle dans les programmes d'ingénierie sociale qui visent à conditionner la société. Qui pourrait nier aujourd'hui que notre monde moderne ne nous infantilise pas, ne nous débilise pas à longueur de temps, ne nous rend pas dépendant de tout et n'importe quoi en nous retirant un maximum d'autonomie, et n'induit pas une peur constante ?" A. Lebreton, MK, p.48

 

L'essentiel dans ce méli-mélo de programmations, est bien de comprendre qu'il s'agit de mécanismes inhérents à notre nature d'humains incarnés en 3ème densité. Tant que nous n'auront pas détecté comment notre propre bourreau intérieur actionne nos programmes et que nous ne lui aurons pas réattribué sa véritable place d'enseignant au service de l'évolution SDA, il continuera par tous les moyens en son pouvoir (et les communautés en font partie) à nous soumettre à sa logique involutive.

 

La grande leçon que je retire de la mise en scène grotesque et exceptionnelle du "prédaRobert", c'est à quel point le prédateur est vulnérable. Vulnérable dans deux sens :

 

- Il est énergétiquement très sensible à l'évolution de conscience de son hôte, puisque le taux vibratoire de l'entité s'en trouve modifiée à chaque fois que la Connaissance est appliquée. Il en résulte donc sur le plan SDS, un branle-bas de combat afin de détourner l'attention de la direction évolutive que risque de prendre une âme. Ce qui dans le cas de Camille et moi a finalement contribué à l'acquisition d'encore plus de lucidité par rapport à ce genre de stratégie !

 

- Mais le prédateur, tel que nous l'a démontré celui de Robert, est aussi rendu vulnérable par son propre jeu… Poussé à l'extrême, ce dernier provoque l'auto-destruction du prétendu maître du jeu. Il finit par déclencher lui-même la programmation "suicide". C'est sa manière à lui de boucler la grande boucle.

 

Alors si je tiens compte de cette observation extérieure, il est important que j'adopte maintenant l'attitude SDA qui consiste à rapporter ce constat à mon propre monde intérieur. La logique prédatrice et suicidaire qui m'a été donnée de voir existe aussi en moi puisqu'un prédateur accompagne mon expérience terrestre. Et si je ne sors pas totalement de la programmation SDS, je finirais tôt ou tard comme Robert : écrasée, anéantie par le poids de mes croyances !

 

D'où encore une fois l'importance vitale d'appliquer la Connaissance (ou acter les prises de conscience) afin de modifier notre fréquence vibratoire. Ce qui aura pour conséquence de modifier celle de notre prédateur intime – l'emmener avec nous vers une réalité au service d'autrui – et sortir du champ des radars de l'armée programmatrice de 4ème densité.

 

Un grand cycle karmique se clôt donc pour moi par le départ de David, le théâtre du prédaRobert, l'arrivée de Camille qui met de l'énergie en circulation, le reformatage de mon disque dur et toutes les clés qui m'ont été offertes par ces êtres agissant dans ma bulle de perception. Ce bouquet final permit de rendre la mémoire à mes fractales d'âme ou personnalités alter portant des fardeaux de Mind Control importants. Toute cette intrigue fut chapeautée par le livre d'Alexandre Lebreton. Il me permit d'assimiler bien plus efficacement les informations grâce à une attitude objective et avertie que je deviens de plus en plus capable d'adopter face aux pires atrocités du monde SDS, donc de notre monde actuel.

 

L'accroissement de cette objectivité correspond à la diminution de l'autocontemplation (notion largement explorée dans la première partie de ce chapitre) qui n'est autre que LA programmation psychique qui nous maintient pieds et points liés à la matrice SDS…

 

 

Hélène

 

 

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Commentaires: 1
  • #1

    Marc Piel (samedi, 02 septembre 2017 22:21)

    Ôla Hélène,

    merci pour ce remarquable partage/enseignement, c'est magistral.
    C'est vraiment formidable la clarté avec laquelle tu restitues tes aventures/prises de consciences.
    À bientôt.
    Biz.
    M