Les prises de conscience que je vais partager ici proviennent d'une expérience épique survenue après la rencontre de Graulhet. Elles sont liées à une première impulsion au sein du noyau LEO pour la création d'un lieu de vie collectif. Ce chapitre traite donc dans le détail de certains évènements abordés par Sand et Jenaël dans le Cahier de l'Ange n°16 ; ceci afin de saisir l'ampleur et la perfection des plans transdimensionnels agissant à travers nos programmes du Service de soi.

 

Gégé le scientifique est l'élément moteur de cette dynamique. Très motivé pour qu'un projet autonome énergétiquement sur le plan physique et spirituel voit le jour, il nous permit de lancer l'impulsion dans la matière par l'énergie financière et les connaissances scientifiques qu'il mettait à disposition. Cet apport énergétique entrait en complémentarité avec nos compétences approfondies du travail sur soi permettant la détection des canaux de prédation et donc l'émancipation de la matrice reptilienne. Tous les ingrédients étaient apparemment réunis pour répondre à l'impulsion de l'Ange et matérialiser les informations du Réseau LEO sous forme d'école : l'ÉCOLEO.

Dans ce cadre – qui occasionna au sein de notre petite équipe d'intenses pics émotionnels suivis de leurs prises de conscience –, je vais aborder plus particulièrement mon propre "appren-tissage" avec la prédation dans ce nouveau patchwork d'aventures.

 

 

 

Cela faisait déjà deux ans que Gégé manifestait une très forte attraction vis-à-vis de moi. De mon côté j'observais de nombreux signes assez frappants m'indiquant qu'un lien karmique important existait bien entre nous. Malgré mes réticences, je savais que sur le chemin du Service à autrui, comme je l'aborde dans le précédent chapitre, il n'est plus question de choisir son coéquipier par goûts puisque ceux-ci nous sont imposés par notre programmation du Service de soi. Il ne s'agit effectivement plus d'un choix, mais d'une évidence qui s'impose pour répondre aux besoins d'évolution de mon âme.

 

Comme dans ce contexte, une lutte intérieure persistait entre le reste de mes schémas de 3ème densité du Service de soi – la fameuse "love-bite" – et ce feu intérieur me poussant à faire table rase pour créer une nouvelle réalité au Service d'autrui, ma Conscience supérieure me dégota l'expérience idéale.

Rien de tel, pour accepter que le couple n'est que pure illusion, qu'un cheminement à deux avec un homme âgé, avec qui je partage les mémoires karmiques d'une petite fille liée à son grand-père dans un contexte de franc-maçonnerie satanique !

 

De plus, concernant Gégé (lorsqu'enfin je comprends dans la vidéo 6 de Graulhet pourquoi j'ai tellement envie de secouer Nicole qui partage des mémoires de colons avec celui-ci), je me rends compte qu'il porte des similitudes frappantes avec les hommes de ma lignée familiale atlante. Notamment avec mon arrière-grand-père maternel Rey-Herme ("Rey" comme "roi") qui fut un ingénieur haut placé dans l'exploitation du charbon des mines de St Etienne. Gégé, qui en plus fréquentait souvent cette ville, était le parfait miroir par ses compétences, ses expressions et sa génération, pour me refléter ma propre génétique aryenne.

 

La lignée Rey-Herme (étymologiquement "roi-hermite").
Génétique aryenne prépondérante.

 

 

Mais d'un autre côté, je décelais aussi chez Gégé un germe sémite qui demandait à être développé. De par sa passion pour la terre et le jardinage, ainsi que par son rôle de précurseur dans le développement de Nature & Progrès au sein de l'agriculture biologique et la mise au point d'une machine pour l'épluchage des châtaignes, je notais d'étranges similitudes avec le parcours de mon père (Ristori) qui fut un des premiers à initier, sur une montagne couverte de châtaigniers, des cultures selon la philosophie Nature & Progrès. Il est le descendant d'une lignée d'immigrés italiens travaillant dur dans les champs et dormant à même le sol. Selon ces indices, et par le désir d'une partie de l'âme de Gégé à avancer vers le Service à autrui, il faisait office de miroir à ma génétique sémite.

 

La lignée Ristori (étymologiquement "restaurer").
Génétique Sémite prépondérante.

 

 

Évidemment, ce clivage entre ces deux origines se vérifie dans mon propre fonctionnement psychique. C'est du côté Ristori que me viennent mes facultés intuitives et émotionnelles, tandis que j'ai davantage hérité de contrôle, de capacités scientifiques et de mordant par le côté Rey-Herme (ma mère issue de cette lignée apportait d'ailleurs ses compétences en génétique pour sauvegarder des races d'ânes en voie d'extinction et par sa niaque, elle parvint à mener la barque de cette exploitation agricole marginale).

 

Mais ce qui importe actuellement pour moi, est de parvenir à équilibrer l'expression de ces opposés dans ma propre génétique. L'Ange avait donc envoyé dans ma bulle de perception, la personne idéale pour me retourner le miroir duel de mes racines Rey-Herme/Ristori, puis aryennes/sémites, puis altantes/lémuriennes, jusqu'aux origines interdimensionnelles reptiliennes/planificatrices.

C'est comme cela, bien loin de la notion de couple, que je ressentais et percevais mon lien avec Gégé. Notre binôme me permettrait de travailler en miroir avec quelqu'un de ma famille. Quelqu'un avec qui j'allais bosser dur sur ma propre génétique, c'est-à-dire user de mes facultés sémites pour restaurer et remettre à sa juste place la génétique du Roi aryen tout puissant.

C'est toute la thématique de cet écrit. Apprendre à équilibrer ces deux polarités qui habitent tout humain (donc ma propre incarnation) et non pas en rejeter une au profit de l'autre.

 

 

 

Pour accepter au plus profond de moi de co-créer avec le phénomène "Gégé et ses multiples visages", il me fallut donc traverser plusieurs étapes :

• L'intégration de nos interactions bourreau-victime dans le cadre maçonnique-satanique ayant émergées avec Nina dans la vidéo "Féminin et masculin – Cartes sur table !". Et dans ce contexte-là, je dus conscientiser comment mon alter victime animé d'un esprit de vengeance, pouvait à son tour devenir bourreau et participer à l'éclatement d'un ouvrage SDA en cours. Il en résulta donc un ÉNORME travail de vigilance par rapport à mes capacités de sabotage et une GRANDE remise en question concernant le rejet du prédateur que je percevais chez Gégé.

• La conscientisation, grâce à mon fourgon en partie financé par Gégé, de notre lien à la technologie sur la ligne temporelle atlante. Lien qui réactivait une mémoire où il m'avait mis entre les mains une technologie de pointe, un vaisseau défaillant, me coutant la vie ainsi que celle de nombreuses autres personnes (mémoires relatées dans le chapitre 12 - Corps physique et technologie atlante).

Parallèlement à tout cela (et à bien d'autres mémoires !), une trame de fond se représentait sans cesse :

 

Effectuer un TRÈS GROS travail pour accepter son attirance affective/sexuelle vis-à-vis de moi, car sans la conscience que j'ai maintenant, j'aurais été extrêmement virulente, voire verbalement violente. Dans nos conversations, j'abordais à plusieurs reprises qu'entre nous, l'échange sexuel n'avait pas sa place, mais par contre je l'invitais vivement à en parler pour qu'on apprenne tous deux à dépasser cette dimension sexuelle pervertie.

 

Gégé revenait souvent sur son vécu en Australie : une initiation affectivo-sexuelle par des femmes aborigènes (qui fut d'ailleurs le sujet de notre premier échange) et qu'il rêvait de revivre ! (Voir la video Lorsque Gégé le scientifique commence à se dévoiler - partie 1)

De mon côté, je me devais d'accepter que si j'attirais cette situation, c'est que je n'étais pas neutre et devais me responsabiliser pour mettre à profit mes connaissances et franchir ces barrières qui visaient encore à diviser pour mieux régner. Je devais donc à tout prix éviter de mettre en application le sabotage que mon prédateur me murmurait à l'oreille pour laisser place au potentiel SDA pouvant émerger de ce partenariat.

 

En effet, en côtoyant Gégé, je sentais un alter apprenti physicien/chimiste se manifester en moi. J'avais une grande curiosité qui me poussait à découvrir différents protocoles de création d'énergie (énergie issue de la chaleur, du vent, du solaire, de la biomasse, énergie libre…). J'imprimais et rassemblais de nombreux documents à ce sujet avec beaucoup d'enthousiasme afin de mettre quelques-uns de ces procédés en pratique grâce aux compétences scientifiques de Gégé, et pour ceux qui fonctionneraient, en faire profiter notre collectif en formation.

 

J'avais bien conscience que tout en dépassant mes propres limitations quant à l'acceptation de la prédation, je jouais le rôle d'intermédiaire. C'est-à-dire que je pouvais rendre progressivement digeste l'enseignement LEO à la part SDA de Gégé pour que celui-ci devienne apte à intégrer un travail commun plus élargi.

 

 

 

Les animaux ont été vecteurs de conscientisation d'une étape importante à franchir. Et dans ce cas-là, c'est à nouveau par "l'intervention" du chat d'Angèle, soit le visage léonin de l'Ange, que je reçus des messages.

 

Bref historique pour situer le contexte :

Suite à la rencontre de Graulhet, Gégé et Nicole sont venus découvrir le futur lieu potentiel pour l'école-lieu LEO évoquée dans les vidéos "Retrouvailles".

Puis, complètement emballé, Gégé décide de revenir quelques jours pour chercher une location en attendant l'acquisition de la maison collective et sa rénovation. Il nous annonça son désir de mettre l'argent sur le compte de l'association Nouvelle Terre de l'Aude pour que celle-ci puisse acheter la bâtisse.

 

Bien que j'eus vraiment la trouille à cette idée, j'acceptais la possibilité que nous habitions ensemble pour l'apprentissage en commun apparemment tracé par nos âmes.

N'osant pas m'en parler directement, il confia justement à Sand et Jenaël qu'il envisagerait bien de partager son logement avec moi. Je venais donc d'avoir la confirmation que "plus haut", le plan était bien que nous nous rapprochions. Il est indéniable que je devais assumer envers Gégé mon rôle de pont vers le Quorum. Parallèlement, il m'enseignerait par son miroir et ses compétences scientifiques.

Plusieurs jours passèrent sans que nous rentrions en contact pour en parler. Normal, car bien que l'évidence de cette colocation se dessinait, je sentais un lot de résistances grandir en moi.

 

C'est donc dans ce contexte-là que je m'aperçus que le chat d'Angèle (nommée la Minette) assis sur le rebord de ma fenêtre, tentait en vain de se retirer un épillet d'herbe inséré dans une narine. Premier réflexe, je sors et tente de le lui enlever. Conclusion, l'épillet déjà bien enfoncé (et spécialement conçu par dame Nature pour ne progresser que dans un sens) se casse entre mes ongles et la Minette se casse également en courant !

 

Encore une fois, j'ai magnifiquement réussi mon coup en voulant intervenir de manière totalement SDS ! Et ces derniers temps, ma Conscience supérieure ne me loupe pas lors de ce type d'interaction avec les animaux. C'est-à-dire que si je ne m'arrête pas dans mon élan pour retourner le miroir et prendre conscience de l'émotionnel qui me pousse à réagir, je constate systématiquement que j'ai engendré pire que la situation de départ.

Je sentais donc que je n'étais pas autorisée à agir davantage avec la Minette. Je réunis alors tous mes moyens pour stopper mon impulsion de sauvetage et me lançai dans le décryptage de la situation que l'animal-messager me permettait de conscientiser. Ma manière de procéder dans ces cas-là est de considérer les blessures de l'animal comme miennes et de chercher leur symbolique.

 

« … si j'ai de la difficulté à transiger avec mon entourage parce que ce que je sens ou je ressens ne me convient pas, ma capacité de respirer par le nez sera diminuée. […] Tout comme les animaux, le nez sert à sentir le danger, les prédateurs […]. Je peux flairer une mauvaise affaire ou un danger, que quelque chose se trame ou qu'on me cache quelque chose. Il y a donc de l'angoisse qui résulte de cette situation qui implique un intrus. […]

C'est peut-être une situation que je critique, que je juge comme "sentant mauvais" et vis-à-vis de laquelle je peux avoir de la rancœur et même du dégoût. Je sens venir une situation, un évènement qui se "trame" et que j'ai peur d'affronter. J'ai de la difficulté à sentir la proximité d'une personne. Ma paix intérieure est troublée par une présence intruse que je veux éloigner de moi. Ce peut être au niveau sexuel où j'ai de la difficulté à repérer un "prédateur"… » Le grand dictionnaire des malaises et des maladies, Jacques Martel

 

C'est plus que clair !!! Ce petit être léonin faisait parfaitement son travail de transmission. Mais ensuite, il me revient la responsabilité de choisir le mode d'interprétation et l'acte qui va en découler.

 

En temps donné ce que j'ai vécu auparavant avec Nina et Gégé, tout de suite je suis alertée par la partie de moi qui sent (ou ne peut pas se sentir) le prédateur de Gégé. J'en conclus à ce moment précis de mon apprentissage que je dois prendre ce symbole comme un signal m'avertissant qu'il est maintenant impératif que je cesse de m'identifier à cette part de moi qui voit uniquement Gégé comme un prédateur à éloigner de ma bulle. Pour que mon flair se rééquilibre et devienne plus objectif, je me dois de prendre en considération tous les aspects de "l'entité Gégé".

Conclusion : il est temps que j'acte concrètement l'ouverture de mon espace intime (ma maison) et sorte de cette obsession de me "sentir épiée" (voici un autre lien avec l'épillet dans le nez selon le langage des oisons) pour qu'une réelle co-création puisse prendre place.

 

Je prends le téléphone et l'appelle pour lui dire que je suis ok pour vivre l'expérience d'un partenariat et qu'en attendant de trouver un logement pour nous deux, il peut dès à présent habiter chez ma voisine du dessus qui était en voyage (la fille du fameux Robert du chapitre 10).

Ravi, il acquiesça et prévit donc d'y venir le temps que nous menions à bien plusieurs "missions" avec Sand et Jenaël.

 

Entre temps, je rencontre à nouveau la Minette avec son épillet dans le nez qui progressait. La situation à l'intérieur de moi ayant évolué, j'expérimente alors quelque chose. Je m'adresse à elle par des "bulles de pensées imagées" en lui expliquant que je peux lui apporter un coup de main en lui retirant cet épi et qu'après, l'infection pourra se résorber (il s'est déjà écoulé plusieurs jours depuis ma première tentative). Mais si elle esquive, c'est son choix, je la laisserais "en l'état" et continuerais à travailler sur mon émotionnel.

D'une main, je l'immobilise, et contrairement à la dernière fois, elle ne cherche pas à se sauver, puis avec une pince à épiler, je parviens à retirer le corps étranger plein de pu et de sang, cette fois-ci en entier !!! Quel soulagement… en retirant cet implant du nez du chat, je sens que j'ai franchi un cap important dans l'acceptation du prédateur dans ma bulle de perception.

 

Quelques jours plus tard Gégé arrive, mais plusieurs heures en avance. Il me rejoint donc dans mes besognes citadines. J'étais à ce moment-là chez le garagiste pour la fameuse et mystérieuse panne de freins du fourgon. Il arrive exactement au moment où enfin le verdict tombe : plusieurs étriers sont à changer ! Un étrier coûte environ 300 €. C'est un mécanisme ingénieux et complexe qu'il n'est pas courant de devoir remplacer, il transforme la pression du circuit hydraulique en force mécanique. La traduction que j'en fais est que pour avancer (déployer une force mécanique), je dois parvenir à transformer la pression exercée par mon circuit émotionnel, sinon, comme c'est le cas depuis quasiment un an, je freine en avançant…

 

Spontanément, Gégé me propose de payer les frais de réparation.

J'accepte alors son offre, ce qui n'est pas du tout anodin pour moi car une voix que je jugeais saboteuse me disait "Attention risque d'emprisonnement !" Donc, bien que ce ne fut pas prévu, je laissai le fourgon à John pour entamer les réparations.

 

L'acceptation de l'apprentissage d'un nouveau mode de fonctionnement avec l'énergie prédatrice dans mon quotidien progressait à grands pas. Via ce paiement et mon acceptation de partager des informations avec Gégé, une remise en circulation de l'énergie bloquée depuis l'époque atlante pouvait enfin avoir lieu. Elle se manifestait dans notre 3ème densité par la remise en état de mon fourgon. Le véhicule qui me permettait d'avancer sur mon chemin SDA a enfin cessé de freiner !

Cette étape était très importante pour moi car mon En-Je me démontrait que malgré mes plongeons dans le doute et la démoralisation (surtout avec ce véhicule...), le travail titanesque que j'effectuais sur mes programmations-mémoires pour sortir de la boucle, payait bel et bien !

 

 

 

Ce véhicule jusqu'alors semi-immobilisé symbolisait donc ma prison, que je n'aurais d'ailleurs pu acheter sans le soutien financier de Gégé ! Sur le plan de l'âme, cette case "prison" eut, tout comme dans le Jeu de l'Oie, son utilité pour mon cheminement car il fallait que j'apprenne consciemment comment m'en extraire.

 

L'Ange m'adressa d'ailleurs un "gros clin d’œil" : nous venions, Gérard, Sand, Jenaël et moi, de signer le compromis de vente pour l'acquisition de la maison de l'ÉCOLEO chez le notaire. Nous marchions dans la ville, quand mon regard fut tout à coup attiré par un jeune étourneau apeuré, se débattant pour s'extraire de son piège. Il s'était effectivement enfermé entre des barreaux métalliques et une fenêtre. Réflexe, je passe la main pour l'aider à se diriger vers une issue. Il finit par s'en extraire, mais à peine est-il sorti, qu'ayant une trouille bleu des humains devant lui, il retourne derrière les barreaux ! Immédiatement, j'ai capté l'enseignement que ma Conscience supérieure mettait en scène…

 

Même si ce programme d'hyper sensibilité avec les animaux est en voie de transformation, pour que les personnes qui ne l'ont pas puissent se rendre compte de l'intensité émotionnelle avec laquelle je vis ce genre de situation, il suffit de remplacer l'animal par un enfant. Mais j'écrirais prochainement sur mon lien aux animaux en allant gratter sous la surface !

 

Alors constater qu'en plus d'avoir échoué dans mon sauvetage, je venais de lui infliger une peur terrible, ne fit que rendre plus douloureux mais plus efficace le message de l'Ange. L'enseignement qui m'était donné de comprendre, mais surtout d'intégrer, est que chacun a besoin de vivre pleinement son apprentissage y compris de passer par la case prison ! Et justement, ce jour-là, n'est-ce pas ce que nous étions en train d'expérimenter à notre échelle avec ces dizaines de signatures pour un contrat avec la Matrice sous le regard des "Maîtres" de l'étude notariale ? Un emprisonnement nécessaire pour notre apprentissage…

 

Cette journée fut très éprouvante du fait des changements soudains des alter de Gégé et du contexte franc-maçonnique dans lequel s'inscrivait notre première grande démarche officielle pour la création de l'École-LEO. Au moment de la signature, il y eut effectivement un fort positionnement de Jenaël, qui "grâce" à un imprévu au niveau du prix, permit de mettre à plat la toute puissance des prédateurs Franc-maçonniques, et après intégration, la valeur inestimable de leurs rôles d'enseignants pour les apprentis SDA que nous sommes. En effet, nous intégrions davantage que les subterfuges SDS en action qui nous rendaient liquides, n'étaient que la démonstration parfaite des secousses de l'Ange pour nous propulser hors de la prison !

L'oiseau nous avait bien démontré que tant que nous rejettons le prédateur de 4ème densité, sans comprendre qu'il est un atout évolutif envoyé par l'Ange, nous sommes destinés à retourner en prison, enfermés dans des cycles répétitifs.

 

D'ailleurs durant cette période, à travers une construction que je faisais moi-même, ma Conscience supérieure me confirma que les boucles temporelles atlantes s'ouvraient. Effectivement, depuis la tabulas rasa de mon jardin au tractopelle, constatée à l'arrivée de l'interminable trajet au volant de mon "vaisseau défaillant", je suis depuis quelques temps en train de jardiner en reprenant tout à zéro de manière intuitive.

 

Ce n'est qu'après plusieurs jours d'application sur mes buttes de terre rondes en permaculture, que je me rendis compte que l'Ange avait beaucoup d'humour… j'étais en train de reproduire l'architecture d'une cité atlante !

Tout y était, même l'eau circulait dans les canaux lors des fortes pluie de ce printemps !

 

 

Cependant, un élément essentiel marquait symboliquement la fin de ces boucles temporelles atlantes répétitives : tous les cercles concentriques étaient ouverts alors que dans ces mégalopoles marines, ils étaient évidement fermés dans un but défensif. La boucle s'ouvrait car je n'avais plus besoin de me défendre contre l'ennemi !

 

C'est ainsi que dès l'arrivée de Gégé, je partageais la même voiture et la même maison que lui. L'Ouroboros pouvait enfin ouvrir sa gueule jusque là cramponnée à sa queue ! Quelque chose de fort était en train d'arriver, mais pour en avoir pleinement conscience, il me fallait vivre la suite des évènements rocambolesques…

 

Gégé passa quatre nuits à l'étage, et durant cette période, eurent lieu la signature chez le notaire, un début de débroussaillage et de nettoyage de la future école-LEO au col du Paradis, des discussions très importantes sur le sens de notre présence en ces lieux et la nécessité de ce travail en commun sur nos mémoires. Puis, le dernier jour, nous dénichions, Gégé et moi, une maison idéale pour une colocation le temps des travaux. Des synchronicités incroyables nous ont guidé à trouver, dans le premier village où nous nous arrêtions (le plus proche de l'ÉCOLEO) et dès la première personne à qui nous nous adressions, le logement plus que parfait pour démarrer une vie à plusieurs ! En moins de deux, la maison fut réservée pour y aménager début Septembre.

 

 

 

L'expérience avec Gégé était peut-être matériellement ouverte, mais les montagnes russes et revirements de situation étaient également au rendez-vous depuis le retour du partage à Graulhet. L'alternance entre les différentes personnalités de Gérard y participait activement et c'était une rude épreuve que de parvenir à garder émotionnellement le cap. Me rappeler d'où il venait et des épreuves qu'il avait endurées dans le milieu Franc-maçon (en tout cas ce qu'il se souvenait et qu'il nous avait partagé) m'aidait à conscientiser à quel point sa personnalité pouvait être fragmentée, et le pourquoi de ses réactions parfois si déroutantes en fonction de l'alter qui s'exprimait.

Je réitérais donc régulièrement en moi-même l'engagement que j'avais pris vis-à-vis de son âme.

 

Après ces quelques jours avec nous, Gégé partit se plonger dans un environnement SDS. En soit, ce n'est pas un problème, mais avec ses alter non reconnectés, l'alter investi par le prédateur agissant sur le raisonnement 3D et la peur de s'engager vers une voie totalement inconnue pouvait facilement prendre les commandes et imposer, telle une loi, ses arguments. De plus, les personnes que Gérard côtoie sont d'une fréquence du Service de soi positif très renforcée dans le sens où ce sont tous des thérapeutes et chercheurs alternatifs en quête de connaissance, mais seulement la connaissance qui convient à leurs prédateurs (c'est-à-dire la connaissance du Service de soi ne venant surtout pas déranger ces derniers…). Les Cassiopéens abordent justement le danger de cette fausse connaissance :

 

" Q : (L) Ark veut également demander… enfin, son problème est la foi, comme il me l'a dit.

 

R : La foi provient aussi de la connaissance, et ainsi que nous l'avons dit précédemment… De fausses connaissances sont plus néfastes que pas de connaissances du tout !!!!!

 

Q : (L) Donc, il est important de décortiquer tout, absolument tout ce qui est appris ou analysé [et également d'apprendre à lire les symboles résultant de l'application de la connaissance. ndlr] […]. Comme C.S. Lewis l'a dit, la connaissance c'est comme une corde, tant qu'on ne l'utilise que pour faire un paquet, cela n'a pas d'importance si elle est solide ou pas. Mais s'il faut s'y accrocher pour faire de l'escalade, alors il faut être absolument sûr qu'elle est assez solide pour supporter notre poids.

 

R : Oui. "

 

L.Knight, L'Onde T1, p 450.

 

Effectivement, dans notre cas, grâce à la corde de connaissance, nous faisons tous les jours de l'escalade pour passer d'une réalité à une autre !

Et qu'est-ce qui détermine la capacité d'un individu à tresser une corde de connaissance solide ? C'est la confiance et la foi qui grandissent en lui au fur et à mesure qu'il établit le lien avec son Soi supérieur. Et cela car il apprend à lire le langage de l'Ange s'exprimant à travers la Matrice.

 

Lors des partages de connaissance entre Gitta Mallasz et ses amis, leurs consciences du futur SDA leurs transmettaient ceci :

 

"Nous sommes fait de foi.

Celui qui a la foi – a son Maître.

Et la foi, c'est SA FORCE.

Si tu crois que j'ai une voix – je peux parler.

Si tu ne crois pas – je suis muet.

Si tu crois que je suis toi – je le serais : c'est la foi placée en haut.

Tu peux placer ta foi aussi en bas, cela ne dépend que de toi.

 

Aujourd'hui, les diables font du bruit et les Anges ne chantent pas.

 

MAIS NOUS DESCENDRONS À TRAVERS VOTRE FOI,

CAR LA FOI – C'EST LE PONT. "

 

Dialogues avec l'Ange, Gitta Mallasz, p.140

 

Le doute provient uniquement de la sphère prédatrice, la foi provient de notre Soi du futur SDA. Évidemment, il est nécessaire de douter et de se poser des questions puisque c'est un moteur pour notre apprentissage ici-bas. Mais le danger vient du fait que le doute – renforcé par celui des autres qui entrent en résonance avec notre propre fréquence – devient l'arme du prédateur qu'il utilise pour nous posséder et nous pousser à perdre pied par rapport à la réalité objective. Il n'y a qu'en étudiant d'arrache pied le fonctionnement des prédateurs/opérateurs de 4ème densité, ainsi que nos programmes karmiques qu'ils utilisent, que l'on peut avoir une chance de parvenir à respirer à la surface lorsqu'on boit la tasse du doute !

 

Pour ma part, avoir la foi en la guidance de l'Ange requiert le développement d'une Force : l'affirmation sans cesse renouvelée de ma volonté à traverser le voile de l'illusion SDS. Cheminer en groupe et former un Quorum avec différents êtres à différents stades de conscience permet d'accélérer le processus grâce au miroir de ceux qui ont déjà gravi la marche du dessus (et qui sont moi-même sur un autre plan de conscience). Ces autres moi "en avance" me permettent ainsi d'intégrer que la foi va s'installer définitivement dans ma réalité de 3ème densité.

 

"Avant tout, vous devez comprendre que dans un groupe tous sont responsables les uns des autres. L'erreur d'un seul est considérée comme l'erreur de tous. C'est une loi, et cette loi est bien fondée, parce que, comme vous le verrez plus tard, ce qui est acquis par un seul, tous l'acquièrent du même coup. »

Ouspensky citant Gurdjieff dans Fragments d'un enseignement inconnu, p. 387 (format poche)

 

Et comme l'indiquait Yakout dans son écrit "détartrage en famille", le mot africain "ubuntu" signifie "je suis ce que je suis grâce à ce que nous sommes tous ".

 

La foi, c'est la connexion à la guidance de l'ensemble de nos Soi du futur (l'Ange) qui constitue le Quorum déjà équilibré. Cette connexion supraconsciente se renforce, et je le sens par l'accélération et la multiplication des signes tous plus hallucinants les uns que les autres…

Grâce à toutes ces épreuves, la communication entre les densités se ré-établit et très régulièrement, par les pleurs, une intégration cellulaire mêlée à une intense gratitude me traverse. Dans ces moments-là, il ne s'agit donc plus d'émotionnel mais bien d'émotions (voir la définition du Réseau LEO : Émotionnel et Émotions).

 

En même temps que la foi grandit, la force de l'Esprit s'accroit. Et ce sont elles deux qui nous permettent de créer l'inimaginable et l'impossible (selon notre perception de 3ème densité SDS) !

 

Voilà, par un mail qui me fut adressé personnellement, l'illustration d'une récupération efficace d'un individu par la faille de son manque de foi.

C'est le résultat de l'immersion de Gérard dans l'univers où la prédation est reine :

 

4 juillet

 

Objet : Regard sur notre futur

 

Bonsoir Hélène,

Me voici de retour en Périgord avec des questions importantes pour la poursuite de mon cheminement dans l'Aude .

Je t'ai exposé mon souhait qu'entre nous il y est une bonne harmonie et une pointe de tendresse, de sourire bref un échange de grande qualité entre humain sur le mème chemin spirituel .

Nous aurons à vivre ensemble dans un espace restreint et je redoute une certaine tristesse dans notre collocation à deux et je t'assure que je ne veux en aucune façon me perturber la vie à la recherche d'un sourire que je n'ai pas vue sur ton visage durant les trois jours que nous avons passé ensemble.

Dommage car sur le plan technique nous nous entendons à merveille.

Donc ma question sera la suivante : accepteras tu de t'ouvrir sur le plan de la douceur de la tendresse et que tu sois plus authentique et féminine dans ta relation à Gégé.

Et pour conclure te sens tu capable de me remercier quand je te fais un cadeau, (tu vois ce que je veux dire )

OUI – NON

 

Dans l'attente de ta réponse

 

Gé

 

Inutile de vous dire que, ne m'attendant pas du tout à un mail de cette teneur, mon sang ne fit qu'un tour. Mais là où je mesure les résultats de mon entrainement au self-contrôle (en tout cas en présence de Gérard et ses multiples casquettes), c'est que je ne me suis absolument pas laissée embarquer dans la direction voulue par les champions de la mise en scène SDS. Tout de suite, je me suis éloignée de l'ordinateur et me suis centrée !

 

Je n'avais aucune idée vers quelle sorte d'aventure le déni et la perversité qui transparaissaient à travers ce mail nous mènerait, mais ce que je savais, c'est que l'Ange m'envoyait un nouveau test pour réaffirmer mon engagement à aller au bout du bout dans l'acceptation de la participation au jeu évolutif – et non involutif – avec la prédation interdimensionnelle.

 

Je me disais instantanément : Ok, comme j'en ai déjà vu d'autres, et puisque c'est l'alter saboteur de Gégé qui veut me faire entrer dans la danse du "diviser pour mieux régner" dans le but de faire capoter le projet collectif LEO, je refuse l'invitation à cette danse, mais accepte de ne pas le rejeter.

 

Je réalisais à nouveau un énorme travail sur mon émotionnel. J'ai vraiment puisé dans la force de compassion de ma génétique Abgal en conscientisant que Gégé était sous pilotage automatique et que je n'avais pas à prendre ses mots personnellement, mais par contre j'avais plutôt intérêt à me préparer psychologiquement à la suite de l'apprentissage avec lui, car il risquait d'être coton !

D'ailleurs, cette expression vient des conditions extrêmement rudes du ramassage de coton, notamment à cause des poussières dans les yeux (la symbolique parle d'elle-même !)…

 

Maintenant, je saisissais pourquoi j'avais été si passionnée par le livre MK d'Alexandre Lebreton. Pour comprendre que je ne suis pas une seule entité, ça c'est sûr ; mais aussi pour être capable de faire face avec le plus d'objectivité possible aux personnalités multiples et prédateurs multiples de Gérard. Il était en quelque sorte le cobaye choisi par ma Conscience supérieure afin de passer de la théorie aux travaux pratiques. Ceux-ci consistaient à appliquer la connaissance grâce à l'effet miroir. S'il l'avait vraiment voulu, Gégé aurait pu tirer un grand bénéfice du miroir multi-facettes du groupe afin de rassembler ses bris d'âme. Bien souvent, je ne savais pas si je devais l'appeler Gégé, Gérard ou Gé.

 

Sur le coup, je pensais que ce chantage complètement déplacé était uniquement dirigé vers moi et non vers le projet collectif pour lequel il manifestait tant d'enthousiasme quelques jours auparavant. Mais quand, avec Sand et Jenaël, nous nous mîmes mutuellement au courant des mails envoyés séparément par Gégé, je constatais alors l'ampleur de la situation. Son revirement de bord était total ! Cheminer avec quelqu'un qui veut se dépêtrer des griffes de son prédateur, ok, mais se faire bouffer par le prédateur, plus du tout ok !

 

Voilà donc un extrait de ma réponse à Gégé :

 

5 juillet

 

Tout d'abord, sache que j'ai entièrement conscience du contrat passé entre nos Âmes sur un autre plan. Mais il faut savoir que ce contrat ne ressemble en rien aux relations homme/femme que tu as pu connaitre jusque-là. Il est également différent de ton expérience avec tes amies aborigènes.

Pour ma polarité SDS, notre vie commune à deux (et à plus nombreux) représente aussi un grand saut dans l'inconnu. Mais puisqu'au fond de moi j'entends une puissante vibration-impulsion qui n'est autre que la voix de mon Ange me sommant impérativement de braver l'inconnu (unique chemin pour aller vers un autre futur que celui de l'extinction de l'humanité), je suis prête à mettre absolument toute mon énergie dans la constitution de notre partenariat.

Car rien ne m'importe plus que de mettre à profit les compétences de mon Être afin de construire un futur commun évolutif.

Seulement, cette énergie est précieuse et je ne peux l'offrir qu'à celui qui, au plus profond de lui, a décidé de sauter dans l'inconnu total en lâchant tous les repères de son passé SDS !!! Sans quoi ce n'est plus un don d'énergie mais une prise énergétique de l'un envers l'autre... et le contrat est alors résilié.

Mes compétences sont essentiellement la détection et l'alignement vis-à-vis de la prédation (l'aspect matériel et technique est un support pour les expérimenter).

[…]

Ceci est la richesse (qui n'a pourtant pas de prix hormis celui de sauver nos âmes) que je peux et que nous pouvons te transmettre.

En aucun cas, je ne peux répondre à tes attentes affectives basées sur tes conditionnements du passé, ce serait me prostituer pour ton prédateur et trahir ton Âme et la mienne.

Je peux t'accompagner à travers tes expériences pour (comme je l'ai fait pour moi) identifier quel programme te manipule pour t'en libérer.

Ainsi ton énergie changera, et en miroir la mienne aussi. Le mur de froideur que tu ressens est celui qui ne répond pas à ton programme affectif-sexuel, puisque c'est le moyen qu'utilisent les entités prédatrices pour soutirer de l'énergie à travers les humains.

Maintenant te voilà avec toutes les informations.

C'est à toi, dans un face-à-face avec ton Âme, à faire un choix quant à ton orientation future :

 

SDA ou SDS ? OUI ou NON ?

 

Hélène

 

Ce à quoi Gégé nous répondit : "J'ai pris ma décision. Que chacun poursuive son chemin séparément et si nos routes se croisent à nouveau nous pourrons très volontiers échanger. "

 

Ok, il a choisi !

Mais quelques jours plus tard, grâce au travail de groupe, je me rendis compte qu'il y avait quelque chose de toujours pas réglé. J'étais maintenue dans la boucle atlante par ma culpabilité. Étais-je censée payer de ma poche pour assumer son désengagement soudain de la location de notre maison-colloque et de la réparation de mon fourgon ? Non, d'autant plus que je n'avais pas l'énergie argent disponible… Mais même cela je ne le conscientisais pas tout de suite du fait de ce programme hypnotique de culpabilité !

Je dus donc marquer par l'écriture d'un ultime mail cette étape de sortie de culpabilité en assumant – tout comme avec Dolph à l'époque du Bézu – de dire NON à mes propres programmes inconscients de soumission m'encourageant à garder le silence et me faire soutirer mon énergie pour soi-disant ne pas "envenimer" la situation.

 

9 juillet

 

Objet : Une décision à prendre pour boucler un cycle karmique

 

Gégé, voici l'état des lieux nous concernant tous les deux, ainsi que mes compréhensions depuis ta démission du projet collectif :

Lorsque tu es venu, "l'âme-a-agi" afin que tous les signes d'une résolution karmique se mettent en évidence :

[…]

Te souviens-tu du chapitre 12 de l'Épopée dans lequel je raconte ma peur panique de perdre le contrôle de mon engin, engendrant des remontées de mémoires avec la technologie atlante liées au "technicien-Gégé" de cette époque ? Et te souviens-tu de mon aventure sur la route pour la rencontre LEO de Graulhet, dont la conclusion était que je devais, au même titre qu'avec toi, accepter de résoudre un karma de technologie défaillante avec John ?

 

Et faisant ce parallèle, la situation dans le garage devenait complètement hallucinante ! Notre guidance avait fait en sorte que nous nous retrouvions tous les trois devant mon camion au moment du verdict ; ça fait quand même plusieurs mois que je me démène et sollicite plusieurs garagistes pour comprendre d'où vient le problème ! John a les compétences et l'énergie physique pour le réparer et tu me proposes l'énergie financière !

En redonnant au féminin la possibilité d'avancer librement sur sa voie, un bagage karmique que nous nous trimballions depuis des millénaires a enfin l'occasion d'être libéré !!!

[…]

Jusqu'à présent, nos âmes étaient liées par des expériences karmiques basées sur une logique SDS et nous aurions pu cheminer en partenariat pour transformer cette polarité soutireuse d'énergie. Suite à tes changements d'optique, c'est en écrivant cette lettre que je me libère de nos liens SDS […]. Et de ton côté, rends-tu à ce féminin la possibilité de reprendre sa route ? Où choisis-tu encore de le garder sous ta coupelle, donc prisonnier par des boucles temporelles qui vont se répéter encore et encore dans ta vie ? […]

J'espère que tu auras su lire ces lignes avec objectivité.

Je te souhaite et t'encourage à utiliser cet exercice de discernement au profit de l'évolution de ton âme.

Hélène

 

Ne comprenant pas mon positionnement ainsi que celui de Sand et Jenaël, Gégé nous répondit que décidément, nous ne vivions pas sur la même planète... Et concernant les frais de réparation du camion, je pouvais les soustraire au don qu'il avait fait à l'Association Nouvelle Terre de l'Aude pour l'achat de la maison du col du Paradis, puisque que nous prévoyions de le lui restituer.

 

Le langage des oisons nous parle à nouveau très clairement par l'entité qui passe à travers Gégé. Elle nous délivre le message final : Nous ne vivons pas sur la même planète !

Il est maintenant évident que nos réalités SDS et SDA vont se séparer et nos planètes avec. Le col du Paradis est un symbole révélateur concernant le passage d'un monde à un autre et ce n'est pas pour rien si des synchronicités complètement folles nous ont guidé à entreprendre les démarches dans la 3ème densité pour l'acquisition de la maison du col du Paradis. Restaurer cette bâtisse collective, c'est construire intérieurement et extérieurement l'Arche qui nous permettra de surfer sur la vague apocalyptique en train de s'abattre sur l'ancien monde.

Ainsi, retirer son énergie de l'association Nouvelle Terre de l'Aude destinée à la construction de l'école des LEO est explicite quant au choix d'une âme qui va continuer son apprentissage dans la matrice SDS.

 

Plusieurs personnes nous ont demandé si nous n'avions pas détecté la fragmentation de Gégé permettant à la prédation de se jouer de nous. Effectivement, nous avions clairement eu des alertes, notamment deux ans plus tôt lors des remontées de mémoires de rituels sataniques et du milieu franc-maçonnique dans lequel baignait Gégé depuis son enfance. Mais personnellement, mon Ange me guidait à inclure Gégé dans ma bulle.

 

Grâce à cette étape de l'apprentissage, je pus creuser vers la racine de l'implant SDS "couple" maintenu par les programmateurs de 4D. C'est la suite de ma déprogrammation relatée lors de ma collocation avec l'entité Basile (chapitre 14 - comment l'Ange m'enseigne-t-il). 

 

 

 

 

J'appris également à dépasser toutes mes résistances afin d'apprendre à fonctionner en synergie avec le prédateur (telles les forces SDS et SDA qui cohabitent au sein du Quorum de notre ligne temporelle future).

 

Je reconnais et remercie la puissance de cet enseignement. Grâce à l'extrême souplesse que j'ai dû développer dans cette histoire, une déprogrammation de mes réflexes reptiliens de fuite ou d'attaque ainsi qu'un accroissement de mon discernement ont clairement eu lieu.

 

De la même manière, collectivement nous devions aller au bout du bout puisqu'il y avait de la part de Gégé une intention de cheminer vers le Service d'autrui et de participer activement à la construction de l'ÉCOLEO. Dans tous les cas, nous n'avions d'autres choix que d'expérimenter pour apprendre et accroitre notre perspicacité car nous n'avions encore aucune idée du versant sur lequel allait basculer son âme.

Mais bien évidemment, il ne s'agissait pas de transformer cet élan d'apprentissage en prostitution...

 

Et honnêtement, après avoir reçu une bonne claque lors du retournement soudain de Gégé, nous éprouvions sans tarder un grand soulagement de ne plus avoir à dépenser une telle énergie pour soutenir un être mi figue mi raisin ! Nous sommes effectivement allés au bout, mais ce "bout" fut déjà beaucoup moins loin que le "bout" du Bézu. Et le prochain sera également bien moins loin que le "bout" de l'histoire avec Gégé… Pas à pas, nous apprenons à dépenser de moins en moins d'énergie dans le monde SDS tout en fonctionnant avec cet univers-là.

 

Nous retrouvant matériellement face à l'inconnu, nous fûmes alors obligés de renforcer notre confiance en l'Ange. Puisque celui-ci est un maître en l'art de la pédagogie, Gégé en fut le parfait instrument !

C'est en intégrant cette donnée cruciale que nous pûmes nous libérer bien plus promptement de l'emprise prédatrice hyperdimensionnelle que lors de notre expérience au Bézu. Nous étions en mesure de nous extraire du marasme psychique programmé car nous devenions capables d'appliquer ce que ne cessent de répéter les Cassiopéens : profitez du voyage (de l'apprentissage) et amusez-vous !

 

C'est en conscientisant "l'intelligente absurdité" de la situation que nous nous tordions finalement de rire ! Imaginez trois personnes n'ayant d'autres ressources que le RSA et constatant tout à coup avoir signé un compromis de vente chez le notaire pour l'acquisition d'une immense bâtisse qui ne correspondait à aucun de leur désir purement individuel…

Nous n'avons depuis lors pas stoppé le processus d'achat.

 

L'enthousiasme débordant de Gégé fut effectivement le moteur pour mettre en route une énergie collective dans la matière : effectuer moult démarches administratives, remettre en fonction l'association Nouvelle Terre de l'Aude, écrire le projet de L'ÉCOLEO, étudier diverses solutions pour une autonomie énergétique, constituer le noyau de cette école… !

C'est à travers "l'intervention divine" de Gégé que l'Ange nous donna un bon coup de pied aux fesses pour finir de décristalliser nos mémoires du Bézu et à nouveau oser mettre en œuvre la conscience SDA dans la matière.

 

L'Ange avait décidément d'innombrables cordes à son arc et parmi celles-ci, une corde fit intervenir Gégé. Grâce au "jet" de prédation, un "jet" de conscience vint s'incarner dans la matière et mettre en route la construction de l'Arche. L'âme de Gégé reçut entre autres comme mission de nous indiquer le chemin tout en accélérant la déprogrammation de nos schémas du Service de soi. Nous ne pouvons qu'éprouver une immense gratitude à son égard !

 

Selon une conscience limitée à la 3ème densité, on pourrait traduire notre persévérance sur cette voie faite d'incertitudes comme totalement délirante, mais selon une conscience de 4ème densité, la guidance de l'Ange est si déterminée à percer notre fausse cécité, qu'elle nous indique le chemin avec des gigantesques pancartes où l'on peut lire "En avant toute, l'aventure ne fait que commencer ! ".

 

Hélène